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Dico du management

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02:34
Les chercheurs en Sciences Sociales ont récemment réalisé des avancées majeures sur les bonnes pratiques à adopter pour prendre des décisions pertinentes dans des environnements incertains. Leurs résultats restent malheureusement peu connus des professionnels et des étudiants. Alors même que les entreprises évoluent dans des contextes de plus en plus imprévisibles et que la prochaine génération d’employés sera amenée à prendre des fonctions dans des univers profondément instables. L'intention de l’innovation pédagogique de Valérie Fernandez et Thomas Houy est ainsi établie : "transmettre aux praticiens et aux élèves tout le savoir issu des dernières avancées de la recherche académique pour les aider à prendre des décisions éclairées dans l'incertain".
FERNANDEZ Anne-Sophie - FNEGE |
HOUY Thomas - FNEGE |
03:34
Selon Baines et Lightfoot, la servicisation peut être considérée comme la transformation de la simple vente de produits à la vente d'une combinaison intégrée de produits et de services qui apporte de la valeur aux clients. Ces services associés aux produits peuvent être des services classiques et basiques (comme le service après-vente, la maintenance ou le financement) et des offres avancées plus complexes (comme la disponibilité de composants, la personnalisation de produits, la visibilité sur des niveaux de stocks). La servicisation doit s’envisager comme un continuum, entre un produit pur et un service pur. La servicisation devient essentielles pour les entreprises industrielles françaises.
AGERON Blandine - IAE Grenoble |
LAVASTRE Olivier - IAE Grenoble |
03:03
Le SCM (Supply Chain Management ou Management de la Chaîne Logistique) couvre l’ensemble des activités liées au macro-processus industriel de l’entreprise. Il englobe ainsi toutes les activités qui participent à la création et à la fabrication des produits commercialisés par l’entreprise (achats, approvisionnement, production, ADV, distribution, logistique). En utilisant des systèmes d’informations adéquats, il prend en charge des flux physiques (matières, composants, produits finis, etc.) mais également des flux d’information (commandes, prévisions, niveaux de stock, délais, etc.). Intra et interorganisationnel, le Supply Chain Management nécessite de la coordination entre tous les partenaires internes (marketing, R&D, achats, commercial, etc.) et externes à l’entreprise.
AGERON Blandine - IAE Grenoble |
LAVASTRE Olivier - IAE Grenoble |
03:05
Prix du Meilleur Ouvrage de Management 2023 – Catégorie Manuel de l'Enseignement supérieur Un nombre croissant de formations supérieures (écoles d’ingénieurs, de commerce, de sciences politiques, sciences sociales, santé…) mobilisent des méthodes inspirées du design thinking pour faire travailler leurs étudiants en mode projet autour de problématiques complexes. Notre constat est que ces initiatives manquent souvent de compréhension des principes du design, des enjeux pédagogiques et de la palette d’activités inspirées du design que l’on peut faire faire aux étudiants, et qui vont bien au-delà des outils souvent simplifiés du design thinking.
CHANAL Valérie - FNEGE |
IRRMANN Olivier - FNEGE |
LE GALL Apolline - FNEGE |
04:00
Prix du Meilleur Ouvrage de Management 2023 – Catégorie RSE "Marketing (plus) durable" est un ouvrage qui s’adresse à tous les professionnels du marketing… y compris les marketers à temps partiel qui – sans nécessairement avoir de responsabilité explicite dans ce domaine– sont engagés dans des projets d’innovation ou de relation avec les clients. Cet ouvrage peut également intéresser les experts de la RSE, car le marketing est une fonction souvent impliquée dans ces enjeux de responsabilité.
SCHOUTEN John - FNEGE |
VOLLE Pierre - FNEGE |
03:00
Cet essai est une contribution à une réflexion à laquelle l’auteur souhaite associer le lecteur afin que chacun puisse l’approfondir en suivant sa propre voie. Cette réflexion porte sur un phénomène fascinant et essentiel : la conquête du monde par les nombres avec pour exemple la comptabilité, le contrôle de gestion et l’audit, soit la comptabilité au sens large. L’auteur porte un regard critique mais non négatif sur la comptabilité dans le but de mieux l’utiliser et lui donner les moyens de nouveaux développements. Car le monde ne serait pas ce qu’il est sans la comptabilité. Elle a été un levier de transformation des entreprises et plus largement de la société. Elle a instrumenté une liberté qui ne va pas sans responsabilité, c’est-à-dire sans obligation de répondre de ses actes.
BURLAUD Alain - LIRSA-CNAM |
03:20
Malgré les apparences, les managers et les philosophes ont beaucoup de choses à se dire. En effet, il n’existe pas une mais des philosophies du management. Chacune met l’accent sur un aspect différent de l’existence, et chacune propose des leçons différentes. Par exemple, l’héroïsme ancien met l’accent sur la performance, le romantisme sur la volonté et l’innovation et l’existentialisme sur la liberté et la responsabilité individuelle. Les managers qui veulent en savoir plus sur la vie en entreprise peuvent adopter tour à tour chacune des philosophies existantes, en apprécier ses mérites, essayer d’en déceler ses faiblesses, pour n’en garder que le plus convaincant.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |
03:29
Cet ouvrage s’intéresse à comprendre comment les acteurs d’un établissement public s’approprient les outils du management de la qualité et en négocient les usages en situation. Il se fonde sur une étude ethnographique de groupes de travail qualité, chargés de modéliser des processus de gestion à l’aide d’un logiciel dédié. En faisant appel à la théorie sémiotique de Charles Peirce, le livre montre ainsi que les instruments de gestion en usage produisent des effets inattendus qui méritent d’être pris au sérieux pour qui souhaite trouver une voie entre injonctions réglementaires et velléités stratégiques. En posant la question de la transformation des bureaucraties, cette recherche montre l’intérêt pour ces dernières à cultiver ce que les pragmatistes appellent une « attitude expérimentale »
PANJETA Alvin - IAE Paris-Est |
03:41
Cet ouvrage s’inscrit dans l’engouement et les débats actuels relatifs à la mobilisation du marketing social et du nudge pour faire changer les comportements de santé des individus. Il rassemble les expériences, opinions et théories mobilisées et vécues par 88 spécialistes nationaux et internationaux (Grande-Bretagne, Espagne, Suisse, Belgique, Etats-Unis et Irlande) qui ont accepté de contribuer afin de présenter : - les théories les plus récentes sous-jacentes au marketing social et au nudge ; - des exemples et études de cas réels qui mobilisent ces deux thèmes ; - leurs expériences et opinions en tant que chercheurs, acteurs du terrain, institutionnels et associatifs, sur ces sujets.
CRIÉ Dominique - IAE Lille |
GALLOPEL-MORVAN Karine - FNEGE |
04:33
La RSE – Responsabilité Social/Sociétale des Entreprises – est clairement dans l’air du temps, mais sans toutefois être si claire que cela quand on y regarde de plus près. En effet, un rapport RSE d’une grande multinationale pourra contenir des références aux politiques de recyclage, des indications sur la lutte contre les discriminations, ou encore ses détails sur la gestion d’une fondation philanthropique.
BAZIN Yoann - EM Normandie |
03:49
De plus en plus souvent, les projets de recherche doivent être validés par ce qu’on appelle un Institutional Review Board – un IRB. Venant du monde biomédical, ces IRB permettent de s’assurer qu’un certain nombre de valeurs et principes sont respectés. Cependant, de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer leur extension, en particulier en Sciences Sociales. Mais si l’on voulait créer une alternative, quel modèle suivre ? C’est tout l’objet du travail que nous avons conduit avec Élise Goiseau paru récemment dans la Revue Française de Gestion.
BAZIN Yoann - EM Normandie |
03:26
Les chercheurs des écoles de management acceptent généralement une perspective déterministe du comportement, selon laquelle l’obéissance est le produit de forces sociales agissant sur les individus et causant leur comportement. Cette perspective a reçu une validation empirique dans les célèbres études de Solomon Asch et de Staley Milgram. Cependant, les archives de ces expériences permettent d’interpréter leurs résultats surprenant dans un autre sens : si les personnes qui en furent les sujets se comportèrent comme elles le firent, c’est parce qu’elles croyaient bien faire. En d’autres termes, leur obéissance reflétait un choix libre et délibéré.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |