Les compétences de demain : Management et Gestion des Affaires

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En hommage à Thierry GARROT, AUNEGe et la FNEGE publient un référentiel prospectif des compétences « Management & Gestion des Affaires ». Proposé sous forme d’ebook interactif, il est dirigé par Aline SCOUARNEC, Professeur à l’IAE – Université Caen Normandie. Ce référentiel constitue le résultat d’un processus de recherche mis en œuvre depuis plus de deux ans par le collectif AUNEGe-FNEGE dans le cadre de l’élaboration d’une plateforme d’orientation vers les métiers dits de gestion – MAP : Mon Avenir Professionnel. Grâce à un travail à la fois documentaire et terrain, huit méta-compétences ont été identifiées, par leur fréquence d’apparition et leur pertinence de mobilisation dans les domaines du management et de la gestion des affaires. Ces huit grandes compétences en gestion sont listées ainsi : Veiller/Anticiper ; Piloter/Gérer ; Contrôler/Mesurer ; Animer/Fédérer ; Développer/Innover ; Appliquer/Respecter ; Accompagner/Conseiller ; Communiquer/Marketer.

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06:23
L’intrapreneuriat, apparu dans les années 1980, permet aux grandes entreprises d’innover et de rester compétitives. Il offre aux entreprises plus de flexibilité et favorise des stratégies novatrices, tandis que les intrapreneurs bénéficient d’une autonomie accrue. Cependant, il implique des changements organisationnels et une évolution de la culture d’entreprise. L’intrapreneuriat est aussi un levier pour la décarbonation, nécessitant de nouveaux business models et investissements à court terme pour des bénéfices à long terme. Des entreprises comme Renault et L’Oréal adoptent cette approche via des partenariats et des structures dédiées. Vinci, avec sa plateforme Leonard, soutient des projets internes et des start-ups externes pour accélérer la transition écologique et l’innovation.
LEGER-JARNIOU Catherine - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
07:26
Marketing seems to be slow to fully recognize its role, place and responsibility in changes in climate, biodiversity and resources. This reluctance can be attributed, at least in part, to the implicit assumptions of sustainable marketing, which tend to minimize the scale of the paradigm shifts needed to remain hopeful of a habitable planet. Consequently, the dominant approaches to “sustainable marketing” find it difficult to question the fundamental principles and ideological foundations of the market system. This is why we are calling for radical changes in marketing research in order to envisage a truly sustainable future. We are therefore formulating a program based on five proposals with the aim of inviting profound transformations in the discipline.
ARNOULD Eric - FNEGE |
03:41
La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) vise la neutralité carbone en 2050 et une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030, imposant aux entreprises de revoir leurs pratiques. Tous les entrepreneurs doivent intégrer ces enjeux pour se conformer aux normes, innover, financer leurs projets, améliorer leur image et optimiser leurs coûts. L’ouvrage *Entrepreneuriat* (FNEGE Management décarboné, EMS, 2024) propose un cadre théorique et pratique pour initier les étudiants à l’entrepreneuriat décarboné. Structuré en deux parties, il aborde les bases de l’entrepreneuriat, l’impact de l’écosystème, le financement, la création, la reprise et l’intrapreneuriat, avec études de cas, exercices et QCM.
LAMETA Nathalie - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
04:12
Le diagnostic stratégique constitue un préalable fondamental à la conception de sa stratégie, son « bâton de pèlerin », au travers notamment d’outils comme la matrice SWOT ou le modèle des cinq forces de Porter. Néanmoins, ils poursuivent avant tout un objectif de compétitivité économique et éludent les questions sociales, sociétales et environnementales, alors que les premiers effets de la crise écologique ont commencé à se faire ressentir. Se pose donc la question de la pertinence des outils de diagnostic stratégique ou, au moins, s’il ne conviendrait pas de les enrichir afin d’incorporer des parties prenantes étendues à la société civile et à l’environnement. Nous nous sommes ainsi intéressés à trois voies d’incorporation de ces parties prenantes externes. Nous avons ainsi discuté la pertinence de généraliser la mise en œuvre de stratégies de RSE, d’encourager l’inscription des entreprises comme sociétés à mission, voire l’adoption de statuts relevant de l’Économie Sociale et Solidaire. Chacune ayant ses avantages mais aussi ses limites, nous concluons à l’intérêt de les mobiliser de manière complémentaire.
MULLER Paul - FNEGE |

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L'agilité stratégique est une capacité cruciale pour les entreprises qui cherchent à prospérer dans un environnement turbulent et incertain. L’agilité stratégique repose sur trois principales dimensions : - La réactivité stratégique : fait référence à la capacité de revoir et de redécouvrir de nouvelles stratégies, parmi les stratégies alternatives, qui sont mieux adaptées aux changements inattendus. - L’unité collective : est d’une importance cruciale puisqu’elle se base sur la fédération des collaborateurs, considérés comme la pierre angulaire, autour d’un objectif commun. Dans un environnement collaboratif, les employés abordent les problèmes en groupe, remettent en question les hypothèses, explorent les cadres sous-jacents et cocréent des solutions innovantes pour surmonter les difficultés. - La fluidité des ressources : fait référence à la mobilisation et à la réallocation rapide des ressources tangibles et intangibles et à la reconfiguration des systèmes et des mécanismes de l’entreprise afin de répondre aux changements du marché et de saisir de nouvelles opportunités.
CHERBIB Jihene - EDC Business School |
La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) vise la neutralité carbone en 2050 et une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030, imposant aux entreprises de revoir leurs pratiques. Tous les entrepreneurs doivent intégrer ces enjeux pour se conformer aux normes, innover, financer leurs projets, améliorer leur image et optimiser leurs coûts. L’ouvrage *Entrepreneuriat* (FNEGE Management décarboné, EMS, 2024) propose un cadre théorique et pratique pour initier les étudiants à l’entrepreneuriat décarboné. Structuré en deux parties, il aborde les bases de l’entrepreneuriat, l’impact de l’écosystème, le financement, la création, la reprise et l’intrapreneuriat, avec études de cas, exercices et QCM.
LAMETA Nathalie - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
Le diagnostic stratégique constitue un préalable fondamental à la conception de sa stratégie, son « bâton de pèlerin », au travers notamment d’outils comme la matrice SWOT ou le modèle des cinq forces de Porter. Néanmoins, ils poursuivent avant tout un objectif de compétitivité économique et éludent les questions sociales, sociétales et environnementales, alors que les premiers effets de la crise écologique ont commencé à se faire ressentir. Se pose donc la question de la pertinence des outils de diagnostic stratégique ou, au moins, s’il ne conviendrait pas de les enrichir afin d’incorporer des parties prenantes étendues à la société civile et à l’environnement. Nous nous sommes ainsi intéressés à trois voies d’incorporation de ces parties prenantes externes. Nous avons ainsi discuté la pertinence de généraliser la mise en œuvre de stratégies de RSE, d’encourager l’inscription des entreprises comme sociétés à mission, voire l’adoption de statuts relevant de l’Économie Sociale et Solidaire. Chacune ayant ses avantages mais aussi ses limites, nous concluons à l’intérêt de les mobiliser de manière complémentaire.
MULLER Paul - FNEGE |
En 1966, William Baumol et William Bowen, deux chercheurs américains, s’intéressent au secteur des arts et de la culture, et plus particulièrement au spectacle vivant. Ils constatent alors la très faible possibilité d’obtenir des gains de productivité et une prépondérance des coûts structurels fixes sur les coûts variables. Cette situation crée, à terme, des déficits structurels pour les organisations artistiques et culturelles. Parfois appelée "maladie des coûts", cette situation économique est, de surcroît, aggravée par les exigences sociétales à l’égard des arts et de la culture. Elle sous-estime cependant la capacité d’innovation des organisations artistiques et culturelles ou encore l’exploitation d’activités découlant d’un concert ou d’un spectacle, tels que les produits dérivés. Enfin, ce sont toutes les externalités économiques et non économiques qui ne sont pas prises en compte dans ce modèle.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

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