La dynamique de l’autonomie organisationnelle

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Le degré d’autonomie organisationnelle d’une unité vis-à-vis du parent peut évoluer dans le temps. Notre modèle dialectique, basée sur une étude longitudinale couvrant 21 années de la relation entre Automobili Lamborghini et Audi, explique comment les interdépendances entre l’intégration stratégique, le respect, et certaines dimensions de l’identité organisationnelle peuvent générer des oscillations dans la dynamique de l’autonomie organisationnelle. Ces oscillations permettent le renouvellement de compétences distinctives et ouvrent de nouvelles perspectives sur le management de la relation unité-parent.

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La notion de réflexivité permet d’envisager les questions actuelles de responsabilité de l’entreprise, de gestion de crise, de changements et d’accélérations sociales. Venant du latin reflexivus, à la fois reflet et réflexion, ce concept prendra avec Descartes et Kant le sens des conditions subjectives sous lesquelles une valeur de vérité devient possible. Ainsi, la réflexivité correspond à un retour de la pensée sur elle-même ce qui la différencie de la réflexion laquelle s’appuie sur une représentation ou un processus mental.
MAGAKIAN Jean-Louis - emlyon business school |
23:32
Le Professeur Roland Pérez a été l’un des pionniers des sciences de gestion en tant que discipline universitaire en France. Sa trajectoire est celle d’un universitaire accompli et très actif dans la société. Il a été le témoin et l’acteur engagé de la naissance et de l’autonomisation des sciences de gestion et de leur développement à l’université française, et cela dans différents champs : la comptabilité et la finance, la stratégie et la gouvernance. Cet intérêt intellectuel qui déborde des frontières étroites des disciplines académiques, avec un intérêt particulier pour la responsabilité sociale, est dû à ses valeurs humanistes fortes.
WIRTZ Peter - emlyon business school |
PEREZ Roland - FNEGE |
02:57
Le servant leadership se distingue de toutes les autres théories de leadership en ce qu’il met le manager au service des personnes et des équipes, et non l’inverse. A partir du postulat que les équipes préfèrent s’investir dans leur travail, les servant leaders sont là pour les accompagner et les aider dans la résolution de problèmes professionnels mais aussi, en cas de nécessité, de difficultés personnelles. C’est dans ce cadre qu’il leur arrive, aussi, de prendre des décisions douloureuses. Les études ont montré que le servant leadership contribue à l’épanouissement des personnes, ce qui se traduit par un supplément de performance individuelle et collective, notamment mesuré par le bénéfice de l’entreprise.
GIOLITO Vincent - emlyon business school |
02:43
Au début des années 2000, les entreprises commencent à développer leurs politiques diversité, mais peu mènent des actions concrètes pour lutter contre l’homophobie et la transphobie. Cette vidéo analyse le rôle de salarié.es militant.es, en particulier des employé.es LGBT qui mettent en place une association LGBT au sein de leur organisation, pour pousser leur employeur à mieux prendre en compte la lutte contre les LGBT-phobies. Ces salarié.es militant.es cherchent à utiliser les enjeux de réputation autour de la marque employeur de leur organisation pour les inciter à agir plus concrètement. Ils développement également de nombreux programmes contre l’homophobie et la transphobie eux-mêmes afin de montrer les potentielles résistances à ces programmes.
BUCHTER Lisa - emlyon business school |

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DATTEE Brice - emlyon business school |
« Equilibration » est un concept importé des sciences cognitives et des travaux de Jean Piaget aux sciences économiques et de gestion par François Perroux en 1973 dans son ouvrage « Pouvoir et économie ». Ce concept retrouve toute son utilité et sa vigueur à l’heure ou le management du potentiel humain se doit d’être RSE c’est-à-dire dans une dynamique de recherche permanente d’équilibre entre des objectifs sociaux, économiques et écologiques.
CAPPELLETTI Laurent - LIRSA-CNAM |
La théorie de la vision organisante est une théorie développée par Swanson et Ramiller en 1997 dans un article paru dans Organization Science et intitulé « The organizing vision in information systems innovation ». Elle explique pourquoi il est rationnel que les entreprises adoptent des technologies de l’information émergentes qui ne sont pas toujours efficaces.
DUDEZERT Aurélie - IMT Business School |
Le monde du travail se structure autour de deux façons de penser le travail et son organisation : le travail moderne, qui renvoie à l’organisation classique du travail, telle que définie durant l’ère industrielle et le travail expressif, qui est traditionnellement celui des artistes, des écrivains et des scientifiques. Le travail moderne est encore aujourd’hui le paradigme dominant, notamment avec le prédominance du salariat dans le monde du travail.
HUSSENOT Anthony - FNEGE |

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