Decoding the « exceptionalism » of the COVID-19 virus in China: Digital contact tracing in the Wuhan community

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During the COVID-19 pandemic, comprehensive, accurate and timely digital contact tracing is a decisive measure for curbing viral transmission. Such a strategy integrates business innovation, government decision-making, citizen participation and community coordination with megadata analysis. This article explores how stakeholders in an open innovation ecosystem interact in the digital context to overcome the public health and socio-economic well-being challenges imposed by the pandemic. To improve the effectiveness of digital contact tracing, communities are deployed to moderate interactions between government, business and citizens.

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05:57
La finance durable désigne l’ensemble des activités financières visant à améliorer l’intérêt de la collectivité à moyen et à long terme. Elle couvre la finance solidaire, la finance durable et la finance verte. Elle repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La finance durable sous-entend : (1) une plus grande transparence des transactions, (2) une meilleure traçabilité des flux de capitaux et (3) une responsabilisation des acteurs. La finance durable a modifié certaines pratiques financières. Ainsi, le pilotage de la performance au sein des organisations est désormais global et intègre les critères ESG. Parallèlement, des agences de notation extra-financière évaluent les risques selon des critères ESG et envoient un signal aux investisseurs socialement responsables. Néanmoins, la question qui se pose au niveau théorique : la finance durable est-elle une finance de continuité compatible avec les théories financières existantes ou une finance de rupture qui implique un nouveau cadre théorique ?
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:41
Les premières agences de notation extra-financière ont vu le jour dans les années 1990. Ces agences se sont appuyées sur les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance (ESG) élaborés par les institutions internationales comme l'Organisation des Nations Unies (ONU), l'Union européenne (UE) ou encore l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Au fil du temps, le modèle économique de ces agences a gagné en maturité. Malgré le grand essor qu’a connu l'industrie de la notation extra-financière durant les deux dernières décennies, la notation fondée sur les critères ESG n'a pas encore atteint la phase de maturité. En effet, aucun référentiel ESG standardisé n’a pu émerger de la pratique de notation extra-financière. Pour devenir un acteur majeur de la finance durable, les agences de notation extra-financière doivent relever deux défis : renforcer leur légitimité institutionnelle et améliorer la viabilité de leur modèle économique.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:22
Pour comprendre la manière dont la blockchain transforme l’audit financier, nous avons mené une étude qualitative auprès des auditeurs des Big Four. Notre objectif est de déterminer l’impact de la technologie blockchain sur l'audit financier dans les cabinets des Big Four et d’identifier les principaux avantages et défis liés à son application. Nos résultats démontrent l’existence d’un impact perçu de la blockchain sur l’audit financier significatif et positif. Les auditeurs des Big Four sont conscients du caractère innovant, voire disruptif de la technologie blockchain dans l’audit. Nos résultats révèlent l’émergence de trois défis majeurs pour l’audit financier sous l’impact de la blockchain, à savoir : la nécessité d’une évolution des compétences des auditeurs, une adaptation des formations en audit et l’impératif de l’adoption des nouvelles normes d’audit.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
04:12
Previous research examining the link between board attributes and ecological strategies such as green innovation has primarily focused on structural board attributes, yielding mixed findings. Moreover, the critical contextual grounds that shape the relationship between board attributes and green innovation have often been overlooked, leading to potential biases in empirical investigations. Considering that competence drives outstanding performance, we developed a unique measure of board competence that represents the board's intrinsic ability to perform in corporate strategies.Drawing on a holistic perspective of agency, resource dependence, and stakeholder theories, we posit a strong relationship between board competence and green innovation.Furthermore, we contend that this association is moderated by external governance mechanisms, namely audit quality, media coverage, and imitative pressure.Through our analysis of publicly traded Chinese companies, we found compelling evidence to support our assertions. These findings have important implications for policymakers, practitioners, and managers.
TAUNI Zubair - EM Normandie |

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Malgré les performances avérées des méthodes modernes d’intelligence artificielles, peu de travaux s’intéressent aux impacts environnementaux liés à la quantité de ressources nécessaires à l’entrainement et à l’usage de ces modèles. Ceci est très alarmant, lorsqu’on sait que le réchauffement climatique est une menace majeure qui met en péril notre planète et nos sociétés. Ainsi, nous abordons globalement dans ce travail la question de la mesure de l’empreinte carbone des modèles d’intelligence artificielle. Plus précisément nous considérons le cas des modèles visant à réduire les émissions de CO2. Pour de tels modèles, nous proposons de mesurer leurs impacts négatifs (quantité CO2 émise par l’entrainement et l’usage des modèles), et leurs impacts positifs (quantité de CO2 non émise du fait de l’usage des modèles). Les évaluations réalisées démontrent que l’empreinte carbone générée par l’entrainement et l’usage des modèles d’intelligence artificielle est globalement non-négligeable. Ainsi, les nouvelles métriques que nous proposons peuvent permettre d’évaluer et de comparer l’impact environnemental de ces modèles, au-delà des métriques usuelles d’évaluation des performances prédictives.
TCHUENTE Dieudonné - TBS Education |
Pitch pour le Prix FNEGE de la Meilleure Thèse en Management 2024 (thèse en 180 secondes) – Prix de thèse AIMS Cette thèse explore les enjeux de la convergence numérique dans l’industrie automobile. Nous y analysons la stratégie du constructeur automobile français Renault dans le domaine de l’électronique et des logiciels automobiles afin de comprendre le rôle des architectures produit dans la reconfiguration d’un écosystème confronté à la convergence numérique. Nos résultats montrent qu’une architecture modulaire peut être à l’origine de contraintes techniques et organisationnelles qui brident la capacité des acteurs en place à saisir pleinement les opportunités portées par la convergence numérique. Une transition progressive vers des architectures modulaires en strates est nécessaire pour surmonter ces contraintes et reconfigurer les mécanismes de création et capture de valeur du constructeur. Notre analyse de ces transformations éclaire les mécanismes à l’œuvre dans cette transition, souligne le rôle ambigu de la modularité dans la reconfiguration des écosystèmes et participe à une meilleure articulation des apports respectifs des théories de la modularité et de la littérature sur les écosystèmes.
AZOULAY Alexandre - FNEGE |
Cet article explore les défis rencontrés par les acteurs socio-économiques dans la mise en pratique de l’économie circulaire, un modèle prometteur qui vise à concilier création de valeur économique et préservation de l’environnement. En se concentrant sur le secteur de la construction au niveau territorial, l’article propose une réflexion sur la transition vers l’économie circulaire, en tenant compte des imaginaires, des pratiques organisationnelles et des dispositifs mobilisés par les acteurs publics et privés. Il présente un modèle d’ingénierie politique articulé autour de quatre axes : la conception de nouveaux imaginaires, le développement d’innovations circulaires, la mise en place de méthodes pour guider l’action collective, et la structuration d’écosystèmes favorisant l’émergence de nouvelles pratiques. Ce modèle vise à stimuler l’innovation et à accompagner la transition des territoires vers l’économie circulaire en mobilisant les acteurs socio-économiques.
NTSONDE Joel - ISTEC Business School |
L’innovation responsable vise à résoudre la question de la conciliation entre innovation, progrès sociétal et respect de l’environnement. Ce concept découle des réflexions du philosophe Hans Jonas sur la responsabilité de l’Humanité face au pouvoir technologique. Dans les années 2010, l’Union européenne a soutenu des recherches sur l’innovation responsable pour réduire les risques liés aux nouvelles technologies. Ces travaux ont mis en avant quatre dimensions clés : anticipation, réflexivité, inclusivité et réactivité. Cependant, l’innovation va au-delà de la technologie, affectant divers aspects de la société. A présent, le concept d’innovation responsable est abordé de manière plus large, incluant des axes comme les innovations sociales et écologiques, l’amélioration des méthodes d’innovation, une vision systémique et des stratégies de gouvernance adaptées. L’enjeu principal est de transformer l’approche stratégique et organisationnelle de l’innovation pour la rendre plus responsable envers la société et l’environnement.
NTSONDE Joel - ISTEC Business School |

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