Coping with the unpredictable by developing the team’s plasticity

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When time is of the essence and teams face unexpected contextual changes, they must adapt quickly, sometimes even in real time, that is, they may have to improvise.  This paper adopts an inductive approach to explore how teams decide to engage in improvised adaptation, and what happens during those processes for improvisation to be successful. The study analyzes improvisation from the perspective of paradox theory and identifies six paradoxical tensions driven by these contexts: deployment, development, temporal, procedural, structural, and behavioral tensions. We propose a dynamic equilibrium model of team improvised adaptation that leads to team plasticity. By properly managing the paradoxical tensions emerging from the convergence of design and execution, teams become more plastic and able to cope with sudden change. These findings contribute to adaptation and improvisation literatures by delving into the adaptation process under the temporal and material confluence of design and execution.

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Le contrôle est une notion centrale et multidimensionnelle, présente en sociologie, psychologie, management, droit et systèmes d'information. Dans le monde du travail, il s’impose dès qu’il existe une relation d’autorité, notamment entre employeur et salarié. Les organisations mettent en place différents systèmes de contrôle (comportemental, input, technologique) pour aligner les actions des employés sur leurs objectifs. Historiquement lié au modèle taylorien, le contrôle a évolué avec les technologies numériques, permettant une surveillance continue mais encadrée juridiquement (CNIL). Il reste un outil clé de gestion de la performance et du respect des règles dans l’entreprise.
DIARD Caroline - TBS Education |
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Depuis la crise sanitaire l’organisation s’est pérennisée en mode hybride (DARES 2024, Apec 2025). Plébiscité par les employeurs (ANDRH-BCG, 2022) et les collaborateurs (Etude UGIC-CGT, 2023), le télétravail devient un élément incontournable de la marque employeur (Diard et al., 2023). Une hausse inhabituelle des démissions et ruptures conventionnelles depuis 2020 (DARES, 2025) invite les organisations à réfléchir à des moyens de rétention des talents. Il s’agit d’initier un parcours collaborateur permettant à chaque étape de motiver et fidéliser. Comment l’autonomie laissée au télétravailleur à domicile et le contrôle potentiellement exercé par l’employeur jouent-ils un rôle dans cette expérience collaborateur ? À travers une étude quantitative conduite auprès de 159 télétravailleurs, nous révélons deux classes de télétravailleurs : les « Satellites-autonomes » et les « Dépendants-contrôlés ». Cette typologie met en évidence des perceptions différentes des télétravailleurs relatives à l’expérience collaborateur. Les « Satellites-autonomes » ont une approche positive de l’expérience globale collaborateur avec le télétravail alors que les « Dépendants-contrôlés » ont une perception plutôt négative. Le contrôle exercé à domicile, peut conduire à une démotivation des collaborateurs et aller à l’encontre d’une politique RH de fidélisation.
DIARD Caroline - TBS Education |
02:35
Cette vidéo présente les travaux de Quentin Plantec (TBS Education), menés avec Pascal Le Masson et Benoît Weil (Mines Paris – PSL), sur un enjeu stratégique : repenser les relations entre science et industrie à l’heure des grandes transitions. À partir de l’ouvrage Science et industrie à l’aune du double impact, elle introduit un nouveau modèle de collaboration : le couplage à double impact simultané. Rompant avec la logique de transfert linéaire, ce modèle propose une co-émergence des percées scientifiques et des innovations industrielles. Fondé sur la théorie C-K et illustré par des cas emblématiques (prix Nobel, ARPA-E, CIFRE…), il souligne les conditions de cette dynamique : indépendance, échanges intenses, et complémentarité des logiques. La vidéo propose ainsi une nouvelle lecture des relations science-industrie, au service d’un impact à la fois scientifique et sociétal.
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This research compares student entrepreneurial ecosystems in France and Norway, focusing on how students access support, resources, and networks. In France, the system is centralized, driven by key actors like Student Hubs for Innovation, Transfer and Entrepreneurship, called PEPITE. In Norway, it is open and collaborative, with strong student associations and community ties. Using interviews and social network analysis, I explored the access and the circulation of information among actors in student entrepreneurial ecosystems. The results reveal different paths to innovation shaped by culture, policy, and education. Supporting student entrepreneurship is not just about funding or training. It’s about building inclusive ecosystems where students, mentors, and institutions work together.
HU Dijia - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |
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PLATA Carlos - EM Normandie |
Les entreprises investissent massivement en R&D, mais l’impact reste parfois inégal. Travailler avec les universités aide à passer des idées aux solutions utiles—non seulement via les brevets ou les équipements, mais grâce à la dimension humaine des connaissances. Un langage partagé, des routines simples et un apprentissage conjoint alignent les équipes et évitent les retours en arrière. En co-concevant le cahier des charges, en libérant un peu de temps aux chercheurs et en s’appuyant sur un soutien juridique et de gestion de projet solide, la collaboration avance mieux. Le prestige peut ouvrir la première porte, mais la valeur naît du travail quotidien ensemble : adoption plus rapide, processus améliorés, compétences qui restent dans l’entreprise. Quand les universités reconnaissent et valorisent ces résultats, les partenariats se renforcent. En bref : investir dans la relation qui porte le savoir-faire sécurise et améliore le rendement de la R&D.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Lorsqu’un entrepreneur innove, il peut protéger ses créations grâce aux droits de propriété intellectuelle (PI) qui accordent un droit exclusif d’utilisation et de valorisation. La PI se divise en deux branches : la propriété littéraire et artistique (droit d’auteur et droits voisins), qui protège les œuvres originales, et la propriété industrielle (brevets, modèles, marques, etc.), qui protège inventions et créations. Ces protections présentent toutefois des limites : procédures longues, coûteuses et valables dans le temps et l’espace. À côté de ces outils juridiques, les entrepreneurs peuvent recourir à des protections informelles comme le secret, la rapidité d’accès au marché, l’avance technologique ou la réputation. Ces stratégies sont peu coûteuses et rapides à mettre en place, mais plus risquées. En pratique, les entrepreneurs peuvent combiner protections formelles et informelles afin d’adapter leur stratégie à leurs besoins et aux exigences du marché.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |

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