Gérard Naulleau sur le financement des Smart Cities

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Le directeur scientifique du Mastère Spécialisé Management des Projets Internationaux fait partie de l’équipe académique du programme Smart Cities Accelerator développé par Netexplo avec ESCP Europe, pour lequel il a travaillé sur les modèles de financement des infrastructures des Smart Cities, établis et émergents, ainsi que la pertinence des Partenariats Public Privé pour toutes les parties prenantes.

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04:03
Nous avons eu le plaisir de coordonner ensemble pendant 3 ans les séminaires du CEFAG. Le CEFAG, c’est un programme de formation doctorale développé par la FNEGE depuis près de quarante ans, sous forme de 3 séminaires résidentiels d’une semaine. Il accueille chaque année une douzaine de doctorants sélectionnés au plan national. Dans cet ouvrage, nous avons voulu raconter pour partager (même si cela reste nécessairement partiel) ce qui se joue en termes d’apprentissage et d’expérience durant ces séminaires.
LAROCHE Hervé - ESCP Business School |
SCHMIDT Géraldine - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:22
Le programme du CEFAG, formation reconnue et complémentaire à celles des écoles doctorales, est une aventure particulière qui change l’expérience de réalisation d’une thèse en sciences de gestion. À l’aide de témoignages de participants, notre objectif est de rendre compte aux futurs doctorants du vécu « de l’intérieur ». Ces témoignages nous permettent aussi d’identifier quatre caractéristiques du CEFAG : motivation, évaluation par les pairs, compagnonnage cognitif et perfectionnement par le voyage. Ces caractéristiques, vues par le prisme des théories de l’identité au travail, éclairent le processus de construction d’une identité d’enseignant-chercheur.
AUBERT-HASSOUNI Christelle - ESCP Business School |
PEREZ Fabienne - Toulouse School of Management |
RENOU Sandra - FNEGE |
VALES Margaux - FNEGE |
24:32
La vidéo présente le parcours de la Professeure Elisabeth TISSIER DESBORDES, Professeur émérite, ESCP Europe. Interview réalisée par Delphine MANCEAU.
TISSIER DESBORDES Elisabeth - ESCP Business School |
MANCEAU Delphine - NEOMA Business School |
03:46
Deux grands échantillons de prix indiquent que les prix juste en dessous d'un chiffre rond (par exemple 1495 € contre 1500 €) sont utilisés dans le luxe. Une analyse des terminaisons de prix suggère que les managers de marques de luxe s'appuient moins sur le mécanisme d’arrondi inférieur (i.e. drop-off) que sur le mécanisme de connotation, deux mécanismes qui ont été utilisés pour montrer que les prix juste en dessous influencent les consommateurs dans l'industrie des biens de grande consommation. En s'appuyant sur l'effet de justification des prix juste en dessous, une analyse conjointe, indiquant qu'une grande partie des consommateurs de produits de luxe préfèrent les prix juste en dessous, souligne le rôle de la déculpabilisation dans la fixation des prix des produits de luxe.
MACE Sandrine - ESCP Business School |
PARGUEL Béatrice - FNEGE |
FRACCARO Annalisa - TBS Education |

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L’ouvrage « S’organiser pour affronter l’incertain au sein des hôpitaux », aux éditions Berger-Levrault, analyse les pratiques des CHU de la région Auvergne-Rhône-Alpes durant la crise Covid-19. Il montre qu’en 2020, les hôpitaux sont devenus des organisations à haute fiabilité dans des circonstances inédites. La démocratie en santé a toutefois été négligée en dépit des attentes des patients et des représentants des usagers. Les méthodes de travail imposées par la tutelle et suggérées par l’OMS n’ont pas été très efficaces, notamment parce qu’ils sont plus adaptés pour faire face aux risques que pour appréhender l’incertitude. Nous proposons donc 4 axes de travail : 1) faire des hôpitaux des bureaucraties-flexibles pour garantir décentralisation, bricolage et pratiques adéquates ; 2) renforcer le pouvoir d’agir des usagers, notamment grâce à l’articulation des résultats quantitatifs livrés par les recueils de données nationaux et obligatoires, à une analyse qualitative du vécu des patients au sein de chaque hôpital, pour obtenir des données réalistes ; 3) adapter chaque outil de gestion à la situation car tous les contextes sont différents, et rien ne garantit que les solutions du passé seront en adéquation avec le contexte de la prochaine crise ; 4) pérenniser le bricolage et apprendre à bricoler grâce aux exercices de simulation. Pourquoi ne pas ancrer de nouvelles manières de penser et agir puisque précisément, notre avenir n’est qu’incertitude ? Projet de recherche COvid Pandemic Institutional maNaGement (COPING) financé par la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) du Ministère de la Santé ; piloté par les Hospices Civils de Lyon (HCL) et réalisé grâce à un consortium réunissant l’équipe de recherche Reshape (U1290) Inserm Université Lyon 1, la Public Factory de Sciences Po Lyon, le Conservatoire National des Arts et Métiers (Cnam) à Paris et son laboratoire Lirsa (EA4603), l’université Lyon 3 avec l’Institut de Formation et de Recherche sur les Organisations Sanitaires et Sociales (Ifross), le Centre de recherche en Droit et Management des services de santé (Crdms), le laboratoire Magellan (EA 3713), ainsi que France Asso Santé. Sandra Bertézène, Professeur du Conservatoire National des Arts et Métiers, titulaire de la chaire de Gestion des services de santé, Paris. Jean-Baptiste Capgras, Maître de Conférences en sciences de gestion, Directeur de l’Ifross, Université Lyon 3. Hervé Cazeneuve, Ingénieur de recherche en sociologie, Ifross, Université Lyon 3. Philippe Michel, Professeur des Universités - Praticien Hospitalier, Université Lyon 1, Directeur Qualité, usagers et santé populationnelle des Hospices Civils de Lyon. Christophe Pascal, Professeur des Universités en sciences de gestion, Ifross, Université Lyon 3. David Vallat, Professeur des Universités en sciences de gestion, Sciences Po Lyon.
BERTEZENE Sandra - LIRSA-CNAM |
L’ouvrage « S’organiser pour affronter l’incertain au sein des hôpitaux », aux éditions Berger-Levrault, analyse les pratiques des CHU de la région Auvergne-Rhône-Alpes durant la crise Covid-19. Il montre qu’en 2020, les hôpitaux sont devenus des organisations à haute fiabilité dans des circonstances inédites. La démocratie en santé a toutefois été négligée en dépit des attentes des patients et des représentants des usagers. Les méthodes de travail imposées par la tutelle et suggérées par l’OMS n’ont pas été très efficaces, notamment parce qu’ils sont plus adaptés pour faire face aux risques que pour appréhender l’incertitude. Nous proposons donc 4 axes de travail : 1) faire des hôpitaux des bureaucraties-flexibles pour garantir décentralisation, bricolage et pratiques adéquates ; 2) renforcer le pouvoir d’agir des usagers, notamment grâce à l’articulation des résultats quantitatifs livrés par les recueils de données nationaux et obligatoires, à une analyse qualitative du vécu des patients au sein de chaque hôpital, pour obtenir des données réalistes ; 3) adapter chaque outil de gestion à la situation car tous les contextes sont différents, et rien ne garantit que les solutions du passé seront en adéquation avec le contexte de la prochaine crise ; 4) pérenniser le bricolage et apprendre à bricoler grâce aux exercices de simulation. Pourquoi ne pas ancrer de nouvelles manières de penser et agir puisque précisément, notre avenir n’est qu’incertitude ? Projet de recherche COvid Pandemic Institutional maNaGement (COPING) financé par la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) du Ministère de la Santé ; piloté par les Hospices Civils de Lyon (HCL) et réalisé grâce à un consortium réunissant l’équipe de recherche Reshape (U1290) Inserm Université Lyon 1, la Public Factory de Sciences Po Lyon, le Conservatoire National des Arts et Métiers (Cnam) à Paris et son laboratoire Lirsa (EA4603), l’université Lyon 3 avec l’Institut de Formation et de Recherche sur les Organisations Sanitaires et Sociales (Ifross), le Centre de recherche en Droit et Management des services de santé (Crdms), le laboratoire Magellan (EA 3713), ainsi que France Asso Santé. Sandra Bertézène, Professeur du Conservatoire National des Arts et Métiers, titulaire de la chaire de Gestion des services de santé, Paris. Jean-Baptiste Capgras, Maître de Conférences en sciences de gestion, Directeur de l’Ifross, Université Lyon 3. Hervé Cazeneuve, Ingénieur de recherche en sociologie, Ifross, Université Lyon 3. Philippe Michel, Professeur des Universités - Praticien Hospitalier, Université Lyon 1, Directeur Qualité, usagers et santé populationnelle des Hospices Civils de Lyon. Christophe Pascal, Professeur des Universités en sciences de gestion, Ifross, Université Lyon 3. David Vallat, Professeur des Universités en sciences de gestion, Sciences Po Lyon.
Les conséquences économiques et financières du changement climatique sont de plus en plus importantes. Les variations de l’indice environnemental, social et de gouvernance (ESG) ont-elles un impact sur les marchés financiers, et lequel ? En quoi l’IA peut-elle améliorer la lecture et l’anticipation de ces impacts ?
PILLOT Julien - OMNES Education |
AWIJEN Haithem - OMNES Education |
BEN JABEUR Sami - FNEGE |
Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |

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