[Série – Face à la crise Covid-19] Le prix de la vie humaine pour les politiques économiques

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Dans une vidéo inspirée par l’impact paper qu’il a rédigé dans le cadre de la série « Managing a Post-Covid19 Era » de ESCP Business School, le professeur Michel Ruimy explique que face à une pandémie, il existe deux manières de répondre : payer POUR des vies ou payer AVEC des vies.

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04:03
Nous avons eu le plaisir de coordonner ensemble pendant 3 ans les séminaires du CEFAG. Le CEFAG, c’est un programme de formation doctorale développé par la FNEGE depuis près de quarante ans, sous forme de 3 séminaires résidentiels d’une semaine. Il accueille chaque année une douzaine de doctorants sélectionnés au plan national. Dans cet ouvrage, nous avons voulu raconter pour partager (même si cela reste nécessairement partiel) ce qui se joue en termes d’apprentissage et d’expérience durant ces séminaires.
LAROCHE Hervé - ESCP Business School |
SCHMIDT Géraldine - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:22
Le programme du CEFAG, formation reconnue et complémentaire à celles des écoles doctorales, est une aventure particulière qui change l’expérience de réalisation d’une thèse en sciences de gestion. À l’aide de témoignages de participants, notre objectif est de rendre compte aux futurs doctorants du vécu « de l’intérieur ». Ces témoignages nous permettent aussi d’identifier quatre caractéristiques du CEFAG : motivation, évaluation par les pairs, compagnonnage cognitif et perfectionnement par le voyage. Ces caractéristiques, vues par le prisme des théories de l’identité au travail, éclairent le processus de construction d’une identité d’enseignant-chercheur.
AUBERT-HASSOUNI Christelle - ESCP Business School |
PEREZ Fabienne - Toulouse School of Management |
RENOU Sandra - FNEGE |
VALES Margaux - FNEGE |
24:32
La vidéo présente le parcours de la Professeure Elisabeth TISSIER DESBORDES, Professeur émérite, ESCP Europe. Interview réalisée par Delphine MANCEAU.
TISSIER DESBORDES Elisabeth - ESCP Business School |
MANCEAU Delphine - NEOMA Business School |
03:46
Deux grands échantillons de prix indiquent que les prix juste en dessous d'un chiffre rond (par exemple 1495 € contre 1500 €) sont utilisés dans le luxe. Une analyse des terminaisons de prix suggère que les managers de marques de luxe s'appuient moins sur le mécanisme d’arrondi inférieur (i.e. drop-off) que sur le mécanisme de connotation, deux mécanismes qui ont été utilisés pour montrer que les prix juste en dessous influencent les consommateurs dans l'industrie des biens de grande consommation. En s'appuyant sur l'effet de justification des prix juste en dessous, une analyse conjointe, indiquant qu'une grande partie des consommateurs de produits de luxe préfèrent les prix juste en dessous, souligne le rôle de la déculpabilisation dans la fixation des prix des produits de luxe.
MACE Sandrine - ESCP Business School |
PARGUEL Béatrice - FNEGE |
FRACCARO Annalisa - TBS Education |

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Prix EFMD FNEGE 2025 du Meilleur Ouvrage de Management – Catégorie puvrage de recherche collectif Prix Syntec Conseil du Meilleur Ouvrage de Management L’ouvrage examine les interactions entre la science et l’industrie à travers la notion de double impact, c’est-à-dire la capacité à produire à la fois des avancées scientifiques majeures et des innovations technologiques disruptives. Il met en lumière les leviers permettant de favoriser ces synergies, notamment par le transfert de connaissances, la coopération entre chercheurs et industriels, et des politiques d’innovation adaptées. L’objectif est de construire un écosystème où la recherche fondamentale et l’innovation industrielle se renforcent mutuellement au service du progrès économique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
L’objectif de cette recherche est de comprendre quels sont les effets du passage d’un programme entrepreneurial animé dans un espace physique à un espace virtuel en ligne en contexte de crise sur la construction du réseau professionnel d’étudiants-entrepreneurs. A travers une recherche qualitative exploratoire durant une année auprès d’un centre entrepreneurial universitaire qui a adapté son programme d’accélération à un espace virtuel en ligne lors de la crise sanitaire, nous analysons le réseau professionnel de deux cohortes d’étudiants-entrepreneurs. Les résultats révèlent la construction de leur réseau social et les comportements sous-jacents à chaque contexte.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |
Préoccupation avérée dans les organisations privées et, plus récemment, dans les organisations publiques, la qualité de vie au travail (QVT) est aujourd’hui un sujet incontournable de la gestion des ressources humaines. Tandis que les études sur ce thème se multiplient, la littérature scientifique fait état d’un manque en ce qui concerne la QVT des personnels – tant administratifs qu’enseignants-chercheurs – des universités publiques. Afin d’évaluer les enjeux de la QVT en université, nous mobilisons la théorie structurale d’Abric. Cette recherche prend la forme d’une étude qualitative avec la réalisation d’entretiens semi-directifs visant à mieux connaître ces représentations sociales. Nos résultats mettent tout d’abord en évidence un « noyau central » d’éléments partagés structuré autour du bien-être, du travail collectif, du climat social et de l’environnement physique de travail. Ensuite, des « éléments périphériques » ressortent : communication, stress, répartition du travail, relation administratif-enseignant. Les résultats soulignent aussi des disparités dans lesdites représentations en fonction des profils étudiés. Ces données nous permettent de mieux appréhender la complexité du concept de QVT dans le contexte de l’université publique. De plus, cette recherche apporte des éléments de connaissance indispensables pour mettre en place des démarches de qualité de vie au travail adéquates au sein des universités publiques.
LOBOS Joachim P. - iaelyon School of Management |
Les politiques publiques sont souvent conçues selon une logique « top-down », où l’État décide et le terrain applique. Mais pour l’entrepreneuriat innovant, cela ne suffit plus. Il faut aussi une dynamique « bottom-up », qui vient des entrepreneurs eux-mêmes. L’enjeu est donc d’articuler ces deux logiques. La French Tech, lancée en 2013, en est un exemple. Pensée par l’État, elle est portée localement par les entrepreneurs qui y participent activement. En dix ans, le nombre de start-up a fortement augmenté, malgré des limites. Ce modèle montre que l’efficacité d’une politique dépend autant de sa conception que de l’engagement du terrain. C’est cette coopération entre État et entrepreneurs qui rend une politique réellement vivante, utile et durable.
GOMOT Timothée - IAE Paris-Est |
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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