L’intrapreneuriat au service de la décarbonation

L’intrapreneuriat, apparu dans les années 1980, permet aux grandes entreprises d’innover et de rester compétitives. Il offre aux entreprises plus de flexibilité et favorise des stratégies novatrices, tandis que les intrapreneurs bénéficient d’une autonomie accrue. Cependant, il implique des changements organisationnels et une évolution de la culture d’entreprise. L’intrapreneuriat est aussi un levier pour la décarbonation, nécessitant de nouveaux business models et investissements à court terme pour des bénéfices à long terme. Des entreprises comme Renault et L’Oréal adoptent cette approche via des partenariats et des structures dédiées. Vinci, avec sa plateforme Leonard, soutient des projets internes et des start-ups externes pour accélérer la transition écologique et l’innovation.

Comment entreprendre pour un avenir décarboné ?

La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) vise la neutralité carbone en 2050 et une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030, imposant aux entreprises de revoir leurs pratiques. Tous les entrepreneurs doivent intégrer ces enjeux pour se conformer aux normes, innover, financer leurs projets, améliorer leur image et optimiser leurs coûts. L’ouvrage *Entrepreneuriat* (FNEGE Management décarboné, EMS, 2024) propose un cadre théorique et pratique pour initier les étudiants à l’entrepreneuriat décarboné. Structuré en deux parties, il aborde les bases de l’entrepreneuriat, l’impact de l’écosystème, le financement, la création, la reprise et l’intrapreneuriat, avec études de cas, exercices et QCM.

Comment entreprendre pour un avenir décarboné ?

La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) vise la neutralité carbone en 2050 et une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030, imposant aux entreprises de revoir leurs pratiques. Tous les entrepreneurs doivent intégrer ces enjeux pour se conformer aux normes, innover, financer leurs projets, améliorer leur image et optimiser leurs coûts. L’ouvrage *Entrepreneuriat* (FNEGE Management décarboné, EMS, 2024) propose un cadre théorique et pratique pour initier les étudiants à l’entrepreneuriat décarboné. Structuré en deux parties, il aborde les bases de l’entrepreneuriat, l’impact de l’écosystème, le financement, la création, la reprise et l’intrapreneuriat, avec études de cas, exercices et QCM.

Qu’est-ce que l’Open Data ?

L’open data né dans les années 2000 au Royaume-Uni et aux Etats-Unis; est un mouvement de libre partage des données publiques encadré en France par la loi pour une République numérique de 2016.

L’open data détient un important potentiel économique et démocratique, permettant l’innovation, la transparence et le développement de nouveaux services, notamment en synergie avec l’IA, l’IoT et la blockchain.
Malgré les défis comme l’interopérabilité des données, les coûts de mise en œuvre et les risques liés à la vie privée, l’open data permet de répondre à des enjeux majeurs comme le changement climatique, la santé publique et l’éducation.

Qu’est-ce que l’Open Data ?

L’open data né dans les années 2000 au Royaume-Uni et aux Etats-Unis; est un mouvement de libre partage des données publiques encadré en France par la loi pour une République numérique de 2016.
L’open data détient un important potentiel économique et démocratique, permettant l’innovation, la transparence et le développement de nouveaux services, notamment en synergie avec l’IA, l’IoT et la blockchain. 

L’utilisation des médias sociaux pour l’innovation ouverte

Notre recherche montre que les entreprises qui sont à même d’exploiter pleinement le potentiel des réseaux sociaux pour l’innovation ouverte doivent adopter une approche holistique. Cela implique une stratégie d’innovation claire et reposant sur une approche collaborative mais aussi un investissement suffisant pour permettre un engagement de toute l’entreprise. Cet engagement est aussi nécessaire pour dépasser les barrières initiales à l’adoption. Si un tel engagement n’est pas possible, une approche minimaliste, focalisée sur la fonction marketing peut se justifier mais n’a que peu d’effet sur l’innovation. En revanche, les stratégies intermédiaires risquent de voir l’entreprise enlisée dans une logique couteuse et peu productive.

L’utilisation des médias sociaux pour l’innovation ouverte

Notre recherche montre que les entreprises qui sont à même d’exploiter pleinement le potentiel des réseaux sociaux pour l’innovation ouverte doivent adopter une approche holistique. Cela implique une stratégie d’innovation claire et reposant sur une approche collaborative mais aussi un investissement suffisant pour permettre un engagement de toute l’entreprise. Cet engagement est aussi nécessaire pour dépasser les barrières initiales à l’adoption. Si un tel engagement n’est pas possible, une approche minimaliste, focalisée sur la fonction marketing peut se justifier mais n’a que peu d’effet sur l’innovation. En revanche, les stratégies intermédiaires risquent de voir l’entreprise enlisée dans une logique couteuse et peu productive.

Réussir la transition durable face aux défis mondiaux

Cette étude explore les leviers à mobiliser pour réussir la transition vers un modèle économique durable dans les entreprises européennes face aux défis mondiaux actuels. En se basant sur 82 entretiens réalisés dans 16 organisations, les auteurs identifient trois compétences clés : la performance financière, l’innovation et la responsabilité sociale. La théorie des capacités dynamiques montre comment ces compétences, bien orchestrées, peuvent devenir des sources d’avantage compétitif durable. Un point central de cette transformation est de placer l’humain au cœur de la démarche, en encourageant une participation collective et un leadership affirmé. Le rôle des dirigeants est crucial pour inciter au changement, adopter une vision à long terme et faire preuve de courage managérial face aux choix stratégiques. L’étude montre que la transition durable, bien que complexe, est réalisable en alignant ces trois compétences autour d’une vision collective et responsable.