Qu’est-ce que le say on climate?

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Le « say on climate » est une résolution facultative et consultative proposée lors de l’assemblée générale annuelle des actionnaires soit par ceux-ci, soit par l’entreprise sur la politique de transition climatique conduite par celle-ci. Elle permet aux investisseurs et aux entreprises de traiter du sujet, mais présente des risques de « greenwashing ».

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03:28
La disparition annoncée des cookies tiers dans les navigateurs, initialement prévue pour 2024 puis repoussée par Google, marque un tournant dans l’écosystème publicitaire numérique. Cette recherche explore les alternatives envisagées par les acteurs du secteur face à ce bouleversement : exploitation des données first-party, ciblage contextuel, identifiants universels ou encore recours aux solutions comme Privacy Sandbox. À travers une démarche qualitative combinant des entretiens semi-directifs et un focus group réunissant des professionnels du secteur, nous analysons les stratégies déployées et leurs implications. L’enjeu est à la fois managérial, puisqu’il faut repenser les modèles de collecte et d’activation de la donnée, et sociétal, avec une attente croissante de respect de la vie privée. Cette transition, bien qu’incertaine dans son calendrier, impose déjà des adaptations majeures.
EL HANA Nadr - IAE Paris-Sorbonne Business School |
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:01
Le projet de ce Livre Blanc vise à mieux faire connaître les DBA et à obtenir leur reconnaissance par les autorités. Face à la croissance rapide du marché des DBA, souvent marqué par un manque de régulation, le Livre Blanc recommande une communication accrue pour valoriser la rigueur et l'impact du DBA, notamment via des événements ou des prix. Il préconise aussi une certification par des instances légitimes comme le ministère du Travail ou le MESR, afin d'assurer la reconnaissance officielle de la qualité des programmes DBA.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
02:35
La publication de ce Livre Blanc a été rendue possible grâce à une communauté de collègues engagés et malgré la contrainte du temps. Douze établissements ont partagé leur expertise sur les programmes de DBA, mettant en avant leur qualité et leur impact. Ce travail, soutenu par la FNEGE et ses partenaires, donne la parole aux docteurs pour illustrer la valeur de leur parcours.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:24
La conversion, essentielle en marketing digital, correspond à l'action d'un visiteur accomplissant un objectif clé, comme un achat ou une inscription. Trois éléments sont fondamentaux pour maximiser les conversions : une expérience utilisateur optimisée, avec un site rapide et intuitif comme Amazon; des messages pertinents et personnalisés, soutenus par des pages claires et des appels à l'action efficaces; et enfin, la confiance, renforcée par des avis clients ou des garanties. Des exemples comme Spotify, Booking.com ou Netflix montrent comment simplifier le parcours client ou créer un sentiment d'urgence peut transformer des visiteurs en clients fidèles. Les outils digitaux, tels que les tests A/B ou les heatmans, facilitent ces optimisations. Avec l'intelligence artificielle, des entreprises comme Google et IBM Watson personnalisent encore davantage les expériences, augmentant les taux de conversion. La conversion, bien plus qu'un indicateur, est désormais une méthode clé pour transformer une intention en action concrète.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
An Initial Coin Offering (ICO) is a modern fundraising method for start-ups, similar to crowdfunding but using digital tokens instead of traditional cash or rewards. Investors purchase these tokens, which they can later use to buy the product or resell for potential profit. ICOs provide entrepreneurs with a global financing opportunity while offering investors early access to innovative projects. Overall, ICOs connect entrepreneurship, finance, and blockchain technology, making them a revolutionary tool for start-up funding.
DELL’ERA Michele - EDC Business School |
The goal of this study is to examine how environmental taxes influence the comparative advantage in environmental products and carbon emissions within emerging economies. To gain a better understanding, we examine whether this impact changes depending on the level of government integrity. The results indicate that increased environmental taxes mitigate the comparative advantage in environmental goods for emerging markets. However, for countries with high levels of government integrity, higher environmental taxes enhance their competitive edge in environmental goods. Additionally, our findings show that although a rise in environmental taxes is associated with higher carbon emissions, raising such taxes results in a reduction in carbon emissions for emerging economies with solid government integrity. These findings suggest that robust political institutions are crucial in promoting the comparative advantage of emerging markets in environmental goods and mitigating climate change. In the absence of substantial confidence in political or governmental institutions, the efficient implementation of climate taxes poses considerable challenges. Furthermore, we observe that an increase in the comparative advantage of environmental goods results in a decrease in carbon emissions.
KOCAARSLAN Baris - EDC Business School |
Résumé en français (une dizaine de lignes maximum) Le coût du capital est le coût moyen des ressources financières utilisées par une entreprise pour financer ses actifs. Il se calcule comme suit : CMPC= 𝐶𝑃 x𝑅 + 𝐷 x𝑅 x(1-t) CP : Capitaux propres D : Dette 𝑅𝐶𝑃 : Cout des capitaux propres 𝑅𝐷 : Cout de la dette t : Taux d’imposition Il représente le taux de rendement minimal qu'une entreprise doit générer pour pouvoir rémunérer ses apporteurs de capital.
CHIKH Sabrina - SKEMA Business School |

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