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Dico du management

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03:19
Le Free Cash Flow, ou flux de trésorerie disponible, pilier de la « culture cash », est un des indicateurs les plus suivis par les dirigeants d’entreprise, investisseurs, et autres parties prenantes. Il correspond aux flux de trésorerie générés par l’entreprise grâce à son exploitation courante, et veritablement disponibles après avoir payé les investissements nécessaires au maintien ou au développement de son activité, tels : le CAPEX, investissement en capital, et le BFR, besoin en fonds de roulement. Le Free Cash Flow est donc une somme d’argent qui pourra être réinvesti dans l’entreprise, ou bien servir à rémunérer les investisseurs. Le Free Cash Flow permet de déterminer si l’entreprise dégage un flux financier positif, ou non.
BESANGER Serge - OMNES Education |
03:09
Un problème épineux sera dénoué par une approche collaborative. Aucun individu n’a la réponse et la direction à prendre est incertaine : il incombe alors au leader d’animer une culture expérimentale de l’apprentissage par tâtonnements (« trial-and-error »). Le décideur est alors amené à encourager la prise de risque pour élucider ce qui marche ou ne marche pas.
SANDERS Paul - NEOMA Business School |
02:33
Les « problèmes épineux » apparaissent en 1973 dans une étude sur la planification et les problèmes de politique sociale de Horst Rittel et Melvin Webber. Les deux urbanistes américains identifient le problème épineux, son opposé est le problème maîtrisé. Un problème maîtrisé peut être sorti de son contexte, résolu, et réintégré dans ce contexte, sans créer de vagues. Tandis que le problème épineux interagit avec son contexte - une intervention ici ou là, et tout peut basculer.
SANDERS Paul - NEOMA Business School |
01:45
Aujourd’hui l’impact des Business Schools est partout, c’est devenu une question centrale pour toutes les écoles car les parties prenantes et notamment les organismes d’accréditation y attachent une importance primordiale. BSIS est une approche globale tant quantitative que qualitative de l’impact des Business Schools au travers de 7 dimensions. Le livre « BSIS, a decade of impact », montre comment les Business Schools ont mis en place la mesure de leur impact. Pour plus d'informations : www.fnege.org/programmes-dimpact
KALIKA Michel - iaelyon School of Management |
04:59
Cet article vise à apporter des éclairages à une problématique encore peu investiguée dans la littérature : la post-adoption des outils numériques interactifs basés sur la voix et l’effet générationnel. Sur la base de la théorie des usages et des gratifications et la littérature sur les normes sociales et la vie privée, nos résultats montrent le pouvoir déterminant positif des usages utilitaires et hédoniques, des normes subjectives et de la masse critique. Comme attendu, la variable ‘craintes en matière de vie privée’ est négativement corrélée à l’intention de continuité des. Ces résultats sont ensuite affinés pour chaque génération et leurs implications théoriques et managériales discutées.
KEFI Hajer - EMLV |
03:34
Companies face the challenge of combining economic and environmental objectives. An obvious, recurring question is whether, and under what circumstances, an improvement in a company's environmental performance leads to higher profits. By examining innovation data, this study addresses the question of whether environmental innovation (EI) is synergistic with other types of innovation. To this end, we consider separately efficiency-related gains in competitiveness and cost savings due to different types of environmental innovation (EI) affecting the supply and demand sides of a company's business. We identify synergistic interactions between EI and certain types of innovation.
GEORGANTZIS Nikolaos - Burgundy School of Business |
02:54
L’usage de l’intelligence artificielle dans les Ressources Humaines et la pratique du coaching entraîne l’émergence d’un nouveau phénomène : le développement des leaders grâce au coaching automatisé par l’intelligence artificielle. Une étude empirique exploratoire et qualitative sur plus de cent participants permet de comprendre que l’automatisation du questionnement ouvert utilisé dans le coaching favorise l’activation et le développement de capacités requises pour leaders et futurs leaders telles que l’esprit critique, l’empathie, la créativité et la proactivité. Cette étude apporte non seulement un cadre théorique et des variables pour de futures recherches mais elle apporte aussi des recommandations pratiques pour appréhender et organiser l’usage d’outils automatisés par l’IA.
MALAFRONTE Olivier - IAE Nice |
03:21
Le propos de notre contribution est de clarifier la compréhension du lien entre bien-être au travail et performance. Cinquante-cinq entretiens ont été réalisés auprès de salariés d’une structure spécialisée dans le service social du travail, et proposant à ce titre des actions d’accompagnement social pour les salariés d’entreprises privées et d’organismes publics. Il ressort de l’analyse des représentations sociales que les deux concepts « bien-être au travail » et « performance » présentent une dualité complémentaire combinée à une imbrication ou une interdépendance des deux concepts. Il a également pu être mis en avant que la satisfaction était une dimension commune au bien-être au travail et à la performance.
BERNARD Nathalie - iaelyon School of Management |
02:59
Etabli en fin d’exercice, pour la période suivante, un budget est un outil de contrôle prévisionnel qui sert à organiser l’activité d’une organisation et d’en mesurer l’impact financier, sur un an maximum. Il s’agit de l’expression quantitative et financière du programme d’actions à court terme de la direction. En fin de période, l’atterrissage budgétaire permet de mettre à jour les prévisions en fonction des résultats de l’année écoulée et des objectifs à venir. Certaines entreprises choisissent de réaliser des budgets « glissants » ou « rolling forecast ». Les budgets font l’objet de nombreuses critiques. Face à cela, de nouvelles approches émergent.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |
03:23
Comment réduire les coûts sans dégrader la valeur du produit pour le client ? Cette question est à l’origine de l’approche dite des coûts cibles ou target costing. Il ne s’agit pas d’une technique de calcul de coûts, mais d’un mode de gestion des coûts. Il a pour objectif d’obtenir un produit dont la valeur perçue satisfait les attentes des consommateurs tout en ne dépassant un coût plafond, le coût cible, qui permet de répondre aux exigences des actionnaires en matière de marge. Cette méthode repose sur deux principes : un principe d’additivité et un principe de symétrie. Cette démarche cherche à maîtriser les coûts tout en préservant la valeur pour le client. Toutefois, elle peut s’avérer très complexe.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |
03:24
Cet article vise à examiner les actions, en termes de conditions de travail, que les entreprises pourraient mettre en œuvre pour influencer à la fois le bien-être au travail et la performance de l'entreprise. L'objectif de cette recherche est de permettre de comprendre les facteurs susceptibles de résoudre le paradoxe entre bien-être au travail et performance. Par une approche basée sur le paradoxe, cette question est étudiée à partir d'une base de données nationale représentative développée par la DARES au Ministère du Travail français, en croisant les réponses aux questionnaires des salariés et des employeurs français. Les résultats présentent les facteurs qui conduisent à un cycle vertueux, améliorant à la fois le bien-être au travail et la performance de l'entreprise.
BERNARD Nathalie - iaelyon School of Management |
LOUP Pierre - FNEGE |
02:56
L’analyse des écarts va permettre d’identifier précisément l’origine des différences entre ce qui a été budgété et ce qui a été réalisé et de mesurer l’impact financier de chacune de ces causes. Ainsi, on peut calculer des écarts sur charges, des écarts sur chiffre d’affaires et des écarts sur marge. Pour chaque élément, on va calculer des sous-écarts. Elle va permettre d’identifier les principales sources de baisse du résultat, notamment les « dérapages » des coûts, la baisse d’un chiffre d’affaires et d’en mesurer les conséquences financières, ce qui va faciliter les actions correctives en donnant la priorité aux éléments les plus significatifs. Par ailleurs, cette approche peut être adaptée pour analyser l’évolution des données entre deux périodes.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |