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Dico du management

Dico du management
03:14
Les parties prenantes font une entrée fracassante en gestion à partir de l’ouvrage qu’un philosophe (Ed. Freeman) publie en 1984 : « Strategic Management: A Stakeholder Approach ». Depuis ce concept est devenu un pilier de toute stratégie RSE. Une entreprise désirant se lancer en RSE doit identifier ses parties prenantes, s’informer de leurs attentes et en tenir compte dans sa stratégie RSE. Elle doit également leur rendre compte régulièrement. Les parties prenantes sont très diverses puisqu’il s’agit des groupes ayant une influence ou susceptibles d’être influencés par l’entreprise, ils comprennent les actionnaires, les employés, les fournisseurs, les clients, les communautés locales, les porteurs de causes (ONG) et les pouvoirs publics.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:50
Depuis 2017, la loi relative au devoir de vigilance oblige les grandes entreprises françaises à élaborer, à publier et à mettre en œuvre des mesures adaptées d’identification des risques et de prévention des atteintes aux droits humains et aux libertés fondamentales, à la santé et à la sécurité de personnes, et à l’environnement. Ce plan de vigilance comporte une cartographie des risques en matière de RSE concernant les filiales, les fournisseurs et les sous-traitants où qu’ils se trouvent dans le monde, il comporte également les procédures d’évaluation régulière et les actions adaptées d’atténuation des risques identifiés ainsi qu’un dispositif de suivi et un droit d’alerte pour les salariés concernés.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:47
L’évaluation est une pratique de GRH a forts enjeux pour le salarié et pour l’entreprise. Elle constitue une réponse aux attentes de l’employé qui a besoin de savoir ce que l’on pense de lui et elle fournit des informations indispensables pour de nombreuses décisions de GRH. L’évaluation verte s’inscrit dans la GRH verte, c’est-à-dire soucieuse de l’impact de l’entreprise sur l’environnement. Elle est naturellement pratiquée dans les entreprises qui ont adopté un SME, systéme de management environnemental, elle nécessite plus de préparation dans celles qui n’ont pas fait ce choix.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:52
Est-ce que cette situation vous est familière ? Dans certaines entreprises, les salariés connaissent leurs objectifs de l’année… mais quand on leur demande quelles orientations à long terme poursuivent leur entreprise ou quelles valeurs elle défend, ils n’en ont aucune idée. Ces entreprises-là sont en danger… Elles n’ont pas su communiquer et fédérer leurs parties prenantes autour d’une vision stratégique à long terme et autour d’une « mission » ou « raison d’être ».
MICHAUX Valéry - NEOMA Business School |
03:54
Que peut-il se passer dans 5, 10, 15, 20 ou 50 ans ? Est-ce possible de le savoir ? Oui et non ! - Non, il n’est pas possible de savoir avec exactitude ce qui va se passer dans l’avenir tant le monde est incertain aujourd’hui. La prospective n’est pas un art divinatoire. - Oui, il est possible de mener une réflexion rigoureuse pour se projeter dans le futur et identifier différentes hypothèses plausibles d’évolution. On parle de futurs possibles.
MICHAUX Valéry - NEOMA Business School |
03:46
Les capacités stratégiques correspondent aux expertises et aux savoir-faire principaux qu’une entreprise possède. On parle aussi de compétences-clés. On doit cette notion au duo bien connu en management : Hamel et Prahalad dans les années 1990. Mais elle repose sur une longue tradition de recherche en management stratégique qui commence dans les années 1950 avec Selznick et qui se poursuit avec des auteurs clés comme Barney, Teece ou Collis.
MICHAUX Valéry - NEOMA Business School |
04:01
Le lancement d'alerte peut être défini comme la divulgation d'informations confidentielles dans l'intérêt public. Le lanceur d'alerte joue un rôle essentiel dans l'exposition de scandales de corruption, de pratiques illégales et de comportements répréhensibles. En exposant les pratiques illégales ou immorales, le lanceur d’alerte permet de renforcer la confiance du public et de promouvoir la responsabilité des entreprises. Les informations divulguées par le lanceur d’alerte peuvent mener à des changements positifs dans l’entreprise, comme dans la société dans son ensemble. La loi « Sapin » de 2016 vise à protéger ces individus courageux qui risquent souvent leur réputation et leur carrière pour exposer la vérité.
BESANGER Serge - OMNES Education |
05:56
Le capital le plus précieux des entreprises réside dans leurs employés. L’engagement est un sujet stratégique pour les organisations. Lorsque les salariés sont engagés, ils sont davantage investis dans leurs responsabilités, font preuve d'initiative et sont prêts à donner le meilleur d'eux-mêmes, et cela se traduit par des résultats positifs pour l'entreprise. Or, seulement 6% des Français se déclarent engagés dans leur travail, soit le taux le plus faible du monde. Le leader doit être un excellent leader ! Il doit montrer l'exemple en étant inspirant et en favorisant une culture d'inclusion et de collaboration.
BESANGER Serge - OMNES Education |
04:22
La question de la régulation des entreprises est un enjeu majeur de notre société contemporaine, marquée par des défis complexes tels que le changement climatique, les inégalités ou encore la protection des droits de l'homme. Les entreprises peuvent collaborer avec des acteurs issus de la société civile pour renforcer leur responsabilité sociale et environnementale, et pour relever les défis communs liés au développement durable. La co-régulation offre une approche collaborative qui combine l'expertise des entreprises et des ONG pour trouver des solutions durables. Elle permet notamment de tirer parti de l'expertise et des connaissances des différents acteurs impliqués, y compris les ONG et les groupes d’utilisateurs.
BESANGER Serge - OMNES Education |
03:53
La théorie de l'agence est un concept fondamental dans le domaine de la gouvernance d'entreprise, qui examine les relations entre les différents acteurs au sein d’une entreprise. Les actionnaires sont les propriétaires légitimes d'une entreprise mais beaucoup d’entre eux sont des investisseurs individuels qui détiennent une petite partie des actions d'une entreprise. Les actionnaires peuvent être confrontés à des problèmes d'asymétrie d'information, ils ne disposent pas toujours des mêmes informations que les dirigeants de l'entreprise. Les dirigeants risquent alors de ne pas toujours agir dans l’intérêt des actionnaires. C’est pourquoi les actionnaires délèguent le pouvoir de gouvernance aux administrateurs, censés protéger les intérêts des actionnaires.
BESANGER Serge - OMNES Education |
02:56
Les écoles ont passé un cap en se dotant de la capacité à assurer des cours en distanciel et à diffuser des contenus sur des plates formes, mais elles restent en général en retrait sur la conception et la production de contenus pensés expressément pour des pédagogies digitales et pour répondre aux besoins de sur-mesure exprimés par les entreprises. La façon dont on se représente l’importance de la délivrance de diplômes, le regard plus ou moins dubitatif que l’on porte sur le potentiel pédagogique des avancées technologiques et la capacité à réaliser les investissements nécessaires expliquent les positionnements plus ou moins conservateurs ou avant-gardistes des écoles.de management dans leur façon d’aborder le marché de la formation continue non-diplômante.
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:22
L’étude menée montre que les entreprises continuent de recourir à la formation continue pour répondre à leurs besoins classiques de développement des compétences et d’accompagnement des mobilités. Toutefois elles ont bien cerné le potentiel du digital et ont fait évoluer les modalités de la formation. En jouant sur les complémentarités entre le face-à-face et la distance, entre les modalités synchrones et asynchrones, elles tentent de gagner en efficacité et de susciter l’appétence pour la formation en assurant une expérience client satisfaisante. Les écoles de commerces ne manquent pas d’atouts pour répondre à cette demander, mais il leur faut développer une orientation client plus affirmée.
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |