Les grands auteurs en entrepreneuriat et PME

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À en juger par le poids que représentent les PME, en termes d’emplois et de création de richesse, nul doute que ces entreprises, prises dans leur diversité, sont le coeur de l’économie réelle. À en juger par la place qu’occupent la création et l’innovation dans nos sociétés contemporaines, l’entrepreneuriat est devenu le moteur de l’économie nouvelle. Pourtant, en dehors de la destruction créatrice de Joseph Schumpeter, l’un des auteurs qui a le plus popularisé la fonction d’entrepreneur, les connaissances aujourd’hui accumulées en entrepreneuriat, véritable discipline, demeurent largement méconnues du grand public et des élites. Ce livre comble ce vide. En rendant compte des conceptualisations et des théories produites par un large panel d’auteurs dans ce champ majeur pour le développement de notre économie et de la compétitivité de nos entreprises, ce livre a une visée académique mais aussi une portée politique, il explique les ressorts et les enjeux de la société entrepreneuriale de ce début de XXIe siècle.

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Au sein des écosystèmes entrepreneuriaux (EE), les structures d’accompagnement entrepreneurial (SAE) font face à un renforcement de la concurrence avec l’entrée de nouveaux acteurs. Pour préserver leur attractivité vis-à-vis des porteurs de projets, ces structures doivent renforcer leur légitimité. Pour autant, la question de la légitimité des SAE au sein des EE est absente de la littérature. Pour y répondre, la recherche s’appuie sur la théorie néo-institutionnelle et propose de considérer l’écosystème comme un champ organisationnel. L’article vise à développer une échelle de mesure, en nous concentrons sur les perceptions des entrepreneurs. En se basant sur la littérature et plusieurs études empiriques, nous avons validé une échelle de mesure de la LEE comprenant trois dimensions : utilitaire, existentielle et socio-économique.
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
04:26
La notion d’écosystème entrepreneurial connaît un fort intérêt dans la littérature mais sa dimension dynamique n’est pas suffisamment prise en considération. Cet article d’inspiration évolutionniste propose de s’appuyer sur le triptyque contexte, structure et dynamique pour comparer les sentiers de dépendance écosystémiques. L’analyse des écosystèmes entrepreneuriaux de Montpellier et de Toulouse révèle deux configurations, l’une politique et l’autre industrielle. Les résultats contribuent à enrichir l’approche des systèmes complexes adaptatifs en proposant une décomposition du sentier de dépendance sous forme de sous-écosystèmes et de séquences. Ils sont utiles pour les décideurs politiques en proposant une représentation dynamique de leurs écosystèmes entrepreneuriaux.
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
03:01
L’accompagnement entrepreneurial est une pratique qui fait référence à une diversité de méthodes, comme le mentorat, ou de structures, comme les accélérateurs. Il peut être défini comme un processus organisé par une tierce partie, s’inscrivant dans la durée et permettant à un porteur de projet ou un entrepreneur de bénéficier d’une dynamique d’apprentissage, d’un accès à des ressources, d’une mise en réseau, de services et d’une aide à la décision. Caractérisé par une diversité d’acteurs, il peut être vu comme un écosystème. En tant que processus, sa modélisation peut se réaliser à l’aide du modèle LORA (Légitimité Opportunité Réseau Apprentissage).
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
03:20
L’accompagnement entrepreneurial est une activité sur le court ou le long terme où des jeunes entrepreneur(e)s peuvent bénéficier de l’expérience d’intervenant(e)s experimenté(e)s et d’entrepreneur(e)s accompli(e)s pour le démarrage de leur projet. Avoir recours à de l’accompagnement permet d’être assisté pour les différentes phases de son projet.
SAMMUT Sylvie - Montpellier Management |

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Les définitions académiques des fintechs sont basées sur des recherches antérieures ou sur des rapports d’organismes de régulation et de cabinets de conseil. En interrogeant directement 10 acteurs de la fintech et de la banque, cette étude compare la perception des fintechs par les chercheurs avec la réalité vécue par les professionnels interrogés. Notre définition est fortement inspirée de la perception des fondateurs de fintechs. Elle met davantage l’accent sur la notion d’innovation d’usage centrée sur le client (vs innovation technologique) et sur une vision entrepreneuriale des fintechs, plus indépendants des acteurs en place.
ELABIDI Houda - ISTEC Business School |
La valeur actuelle nette (VAN) évalue la rentabilité d’un investissement en comparant les flux de trésorerie actuels et futurs, ajustés pour le coût du capital. Basée sur la valeur temporelle de l’argent, elle permet une comparaison rigoureuse des avantages et coûts des investissements. Malgré sa capacité à fournir une mesure claire de rentabilité et à faciliter la prise de décision, la VAN dépend fortement des estimations de flux de trésorerie futurs et du choix du taux d’actualisation, ce qui peut entraîner des décisions sous-optimales. En outre, elle ne prend pas en compte des considérations stratégiques ou qualitatives. Pour autant, la VAN est un outil essentiel dans la prise de décision financière des entreprises.
BESANGER Serge - OMNES Education |
L’EBITDA, ou excédent brut d’exploitation (EBE), est un indicateur financier évaluant la performance opérationnelle d’une entreprise en excluant certains éléments comme l’amortissement, la dépréciation, les intérêts et les impôts. Il permet des comparaisons de rentabilité entre entreprises, produits ou business units, et est utilisé dans les fusions et acquisitions pour évaluer la rentabilité opérationnelle. Les multiples d’EBITDA, des ratios financiers, comparent la valeur d’une entreprise à son EBITDA, facilitant l’évaluation des entreprises dans un même secteur ou lors de transactions. Bien qu’utile, l’EBITDA présente des limites, ne tenant pas compte des investissements en capital et pouvant être manipulé pour donner une fausse impression de rentabilité.
BESANGER Serge - OMNES Education |
La responsabilité numérique implique un ensemble d'obligations éthiques, sociales et légales pour les individus, les entreprises et les gouvernements. Cela englobe la gestion des données, la transparence, la lutte contre la désinformation, et la promotion de l'accès équitable aux technologies. Les implications touchent tous les acteurs de l'écosystème numérique, appelés à adopter des pratiques respectueuses de la vie privée et à élaborer des politiques protectrices. En intégrant la responsabilité numérique dans leurs actions et politiques, ils peuvent créer un environnement numérique plus sûr et éthique pour tous.
BESANGER Serge - OMNES Education |

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