Increasing awareness of climate change and its potential consequences on financial markets has led to interest in the impact of climate risk on stock returns and portfolio composition, but few studies have focused on perceived climate risk pricing. This study is the first to introduce perceived climate risk as an additional factor in asset pricing models. The perceived climate risk is measured based on the climate change sentiment of Twitter dataset with 16 million unique tweets in the years 2010–2019. One of the main advantages of our proxy is that it allows us to capture both physical and transition climate risks. Our results show that perceived climate risk is priced into S&P 500 Index stock returns and is robust when different asset-pricing models are used. Our findings have implications for market participants, as understanding the relationship between perceived climate risk and asset prices is crucial for investors seeking to navigate the financial implications of climate change, and for policymakers aiming to promote sustainable financing and mitigate the potential damaging effects of climate risk on financial markets, and a pricing model that accurately incorporates perceived climate risk can facilitate this understanding.

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Cette recherche vise à mieux comprendre : le contenu des échanges entre les membres afin de déchiffrer la nature de leur haine, la structure organisationnelle et sociale en place afin d'identifier les jeux d'influence et la force des liens entre les membres, ainsi que l'intensité de la haine des membres et les comportements correspondant à chaque niveau. Une approche netnographique a été mise en œuvre au sein de deux communautés virtuelles françaises anti-marques. Au total, 1 000 verbatims provenant de chaque communauté ont été analysés. Au-delà de la catégorisation des publications des membres en quatre catégories, basée sur les travaux de Fetscherin (2019) et Granovetter (1973), nous mettons en évidence, d'une part, un nouveau niveau de haine (haine figée) qui se traduit par des grognements silencieux et, d'autre part, que la force des liens sociaux dépend du secteur d'activité de la marque ciblée. L'intérêt fondamental de cette recherche réside dans sa capacité à démontrer que les communautés virtuelles anti-marques s'auto-organisent, développant une forme de propagande qui favorise la haine des membres envers la marque, mais aussi la solidarité entre eux pour compenser les défaillances de la marque. Par ailleurs, ces communautés pourraient agir comme des lanceurs d'alerte et appeler les pouvoirs publics à contraindre les entreprises à améliorer la qualité de leurs services.
BUFFAZ Pierre - EDC Business School |
- Recherche
- Marketing, Vente et Communication, Transformation Digitale
