Développement Durable et RSE
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La gestion des ressources naturelles partagées : des recommandations importantes
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La gestion des ressources naturelles partagées : des recommandations importantes

Les dilemmes liés à l’utilisation des ressources naturelles communes concernent des populations très diverses à l’échelle nationale voire internationale. Cependant, la plupart des études comportementales sont menées dans de (petits) environnements de laboratoire avec des populations homogènes. Nous présentons les résultats d’une expérience de ressources communes, menée simultanément dans onze villes françaises, impliquant un total de 2724 participants. Nous montrons que les acteurs réduisent considérablement les niveaux d’extraction au niveau local par rapport au niveau national. Nous montrons également que le fait de fournir des recommandations sur les quantités d’extraction optimales améliore considérablement la durabilité de la ressource.

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L’intelligence artificielle (IA) suscite des attentes inédites pour relever des défis majeurs d’intérêt général. Pourtant, malgré le progrès fulgurant des techniques d’IA, son adoption se heurte à l’incertitude sur ses effets et aux tensions qu’elle génère. Cette thèse explore les enjeux de l’IA d’intérêt général (IAIG) et de la dynamique complexe de son adoption, à travers deux études de cas en profondeur dont celle d’un modèle prédictif de la perte d’autonomie dans le logement social, analysé en immersion pendant six mois. Elle éclaire les mécanismes d’influence sociale, internes et externes, et les forces inertielles qui façonnent son adoption, ainsi que le rôle du management dans l’évolution des routines impactées par l’IA. Enfin, la proposition du concept intégrateur de l’efficience responsable de l’IAIG permet de formuler des recommandations pour accompagner cette dynamique complexe.
DUARTE Magalie - Burgundy School of Business |
Le "Grand Oral AEF info x Fnege", le podcast des dirigeants de l’enseignement supérieur de gestion, reçoit dans son 14e numéro le directeur général de BSB (Burgundy school of business), Stephan Bourcieu, l’un des dirigeants d’écoles de management les plus pérennes à son poste. Depuis bientôt 20 ans, Stephan Bourcieu fait la démonstration qu’une école de milieu de tableau, ancrée sur son territoire bourguignon, peut rester attractive, conquérir des marchés internationaux, et se projeter vers un campus flambant neuf à Lyon. Bernard Ramanantsoa, doyen émérite d’HEC, coanime cet épisode.
RAMANANTSOA Bernard - FNEGE |
PIOVEZAN Sarah - AEF Info |
BOURCIEU Stephan - Burgundy School of Business |
Le modèle de distance CAGE vise à aider les entreprises dans leur expansion internationale en prenant en compte quatre dimensions clés : la distance culturelle (C), la distance administrative (A), la distance géographique (G) et la distance économique (E). Ces dimensions permettent de comprendre et mesurer les similitudes et différences entre deux marchés ou pays, influençant ainsi les décisions stratégiques des organisations. Plus les distances sont importantes, plus la démarche d'internationalisation est complexe et risquée. Chaque secteur d'activité réagit différemment aux distances, avec des impacts spécifiques, par exemple l'industrie agro-alimentaire à la distance culturelle et l'industrie pharmaceutique à la distance administrative. Les entreprises doivent donc tenir compte de ces distances pour réussir dans leurs marchés internationaux.
DITTER Jean-Guillaume - Burgundy School of Business |
Nous étudions si la représentation des détenteurs d'obligations au sein des conseils d'administration peut être un mécanisme de discipline de marché efficace pour réduire le risque bancaire, en utilisant un ensemble de données unique combinant des informations sur les détenteurs d'obligations et les conseils d'administration des banques européennes cotées.
TRAN Phan Huy Hieu - Burgundy School of Business |

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Pendant plus de 40 ans, une mauvaise gestion des déchets en Italie a permis à la Mafia de les éliminer illégalement, provoquant une crise sanitaire majeure et des taux de cancer en hausse. Malgré les interventions tardives de l’État, les choix économiques ont souvent prévalu sur la protection de l’environnement et des populations. Cette crise révèle que la gestion des déchets est avant tout une question de pouvoir et de justice sociale, touchant de manière inégale les communautés.
LOBBEDEZ Elise - NEOMA Business School |
Cette recherche aborde un domaine négligé dans la littérature en entrepreneuriat : celui des entrepreneurs du quotidien — ces « modestes acteurs du changement ». Se concentrant sur le secteur du vin biologique en France, cette étude cherche à comprendre comment la digitalisation, souvent perçue comme un univers réservé aux start-up de la tech, pouvait impacter la performance de ces petits entrepreneurs. Les données financières de 66 producteurs de vin biologique ayant rejoint une plateforme numérique, ont été analysées et comparées sur une décennie à un groupe de contrôle qui n’avait pas franchi ce pas. Les résultats sont significatifs. Après avoir rejoint la plateforme, les vignerons du groupe cible ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 10,1 % par rapport au groupe de contrôle. Leur rentabilité s’est également améliorée. Fait encore plus marquant, cette croissance s’est faite à ressources constantes. Cette performance signe là l’essence même de leur stratégie : le bricolage numérique.
BONCORI Anne-Laure - OMNES Education |
Pourquoi parler du handicap au travail ? Le handicap concerne 30% de la population, souvent invisible et peu abordé. Pourtant, parler ouvertement du handicap en entreprise favorise l’inclusion et améliore l’accessibilité pour tous grâce à l’effet “curb-cut”. Découvrez pourquoi chaque effort compte pour créer un environnement de travail plus juste et accueillant.
STARZYK Anita - NEOMA Business School |
L’objet de ces travaux est une réflexion sur les impacts possibles d’une décarbonation de nos économies sur les structures organisationnelles. Nous argumentons que cette décarbonation passera immanquablement par l’abandon des énergies fossiles (charbon, gaz naturel et pétrole) au profit d’énergie n’émettant pas de CO2 (énergie renouvelable, éventuellement nucléaire). Nous nous intéressons plus particulièrement à la question comment les organisations vont pouvoir s’adapter à ce nouveau paradigme : électrification massive et énergie chère. Dans cette optique, nous revisitons les théories des organisations pour analyser l’avantage compétitif des organisations à l’avenir.
NEUKAM Marion - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |
Claude GUITTARD - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |

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