FNEGE MEDIAS

Épisodes du podcast

Emerging technologies offer endless opportunities for businesses and consumers. However, they also pose challenges in terms of adoption and use. It is essential to find a balance between technological innovation and human interaction. Businesses also need to deal with the misuse of these technologies (e.g., misleading advertising) and ensure ethical use.
ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |
Virtual influencers are 100% Computer Generated Influencers created by AI and 3D artists. These virtual influences can model, sing, and even interact with fans—without ever existing in real life. Despite the risks of virtual influencers (e.g., lack of authenticity, ethical and transparency concerns, etc.), they represent enormous opportunities for brands.
ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |
Recently, ensemble-based machine learning models have been widely adopted and have demonstrated their effectiveness in bankruptcy prediction. However, these algorithms often function as black boxes, making it difficult to understand how they generate forecasts. This lack of transparency has led to growing interest in interpretability methods within artificial intelligence research. In this paper, we assess the predictive performance of Random Forest, LightGBM, XGBoost, and NGBoost (Natural Gradient Boosting for probabilistic prediction) on French firms across various industries, with a forecasting horizon of one to five years. We then apply Shapley Additive Explanations (SHAP), a model-agnostic interpretability technique, to explain XGBoost, one of the best-performing models in our study. SHAP highlights the contribution of each feature to the model’s predictions, enabling a clearer understanding of how financial and macroeconomic factors influence bankruptcy risk. Moreover, it allows for the explanation of individual predictions, making black-box models more applicable in credit risk management.
NGUYEN Hoang Hiep - EM Normandie |
La gestion de portefeuille consiste à sélectionner et assembler des actifs financiers pour optimiser le risque et le rendement selon les objectifs du client. Elle est assurée par une société de gestion, composée du gérant de portefeuille, des analystes, des traders et de l’équipe commerciale. Les clients privés incluent les petits épargnants, qui investissent via des fonds indiciels (ETF) ou actifs, et les investisseurs fortunés, qui bénéficient d’une gestion sur mesure. Les investisseurs institutionnels, comme les fonds de pension et les dotations universitaires, ont des besoins spécifiques nécessitant une gestion structurée et disciplinée. Face à l’incertitude des marchés, la gestion de portefeuille repose sur une surveillance constante et une stratégie adaptée pour garantir performance et stabilité financière.
NGUYEN Hoang Hiep - EM Normandie |
Le contrôle capacitant (enabling control) est un modèle proposé en 2004 par les chercheurs Thomas Ahrens et Christopher Chapman et qui fait désormais partie des grands courants en contrôle de gestion. Il est dérivé des travaux de Paul Adler et Bryan Borys (1996) pour lesquels le modèle des bureaucraties capacitantes distingue deux types de formalisation des flux de travail : coercitive et capacitante. Son idée-force est de « permettre aux employés de mieux maîtriser leurs tâches ». Appliqué aux systèmes de contrôle de gestion, il constitue une voie d’analyse de l’équilibre entre efficience et flexibilité, valorisant la participation des employés dans leurs interactions avec les technologies de gestion.
BENOIT Benjamin - IAE Perpignan |
Articulé autour de quatre caractéristiques, le contrôle capacitant emprunte une voie facilitante, d’une part, qui interroge l’utilisateur en mobilisant les caractéristiques de transparence interne et transparence globale, et une voie habilitante, d’autre part, orientée vers la technologie formalisée de contrôle de gestion, qui est axée sur les caractéristiques de flexibilité et de réparation. La combinaison facilitante-habilitante confère la qualité capacitante aux dispositifs de contrôle de gestion.
BENOIT Benjamin - IAE Perpignan |
22 décembre 2024, Donald Trump nouvellement élu président des Etats-Unis, déclare vouloir s’emparer du Groenland, un territoire de plus de 2 millions de Km carrés, symbole du réchauffement climatique. La convoitise autour de cette île stratégique : routes maritimes, terres rares, minerais (la cryolite), ... donne du poids aux revendications indépendantistes de ses habitants inuits qui rêvent de s’émanciper du Danemark. Mute Egede, le premier ministre de la province autonome, affirme que « les Groenlandais entendent décider eux-mêmes de leur avenir ». Des élections législatives anticipées se tiendront le 11 mars 2025 sur ce territoire arctique pour élire les 31 membres du parlement Groenlandais – Inatsisartut, puis en avril des élections locales, elles seront l’occasion de questions stratégiques dont celle du développement tourisme comme source de diversification.
RIMAUD Marie-Noëlle - Excelia Business School |
L’intrapreneuriat, apparu dans les années 1980, permet aux grandes entreprises d’innover et de rester compétitives. Il offre aux entreprises plus de flexibilité et favorise des stratégies novatrices, tandis que les intrapreneurs bénéficient d’une autonomie accrue. Cependant, il implique des changements organisationnels et une évolution de la culture d’entreprise. L’intrapreneuriat est aussi un levier pour la décarbonation, nécessitant de nouveaux business models et investissements à court terme pour des bénéfices à long terme. Des entreprises comme Renault et L’Oréal adoptent cette approche via des partenariats et des structures dédiées. Vinci, avec sa plateforme Leonard, soutient des projets internes et des start-ups externes pour accélérer la transition écologique et l’innovation.
LEGER-JARNIOU Catherine - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
Marketing seems to be slow to fully recognize its role, place and responsibility in changes in climate, biodiversity and resources. This reluctance can be attributed, at least in part, to the implicit assumptions of sustainable marketing, which tend to minimize the scale of the paradigm shifts needed to remain hopeful of a habitable planet. Consequently, the dominant approaches to “sustainable marketing” find it difficult to question the fundamental principles and ideological foundations of the market system. This is why we are calling for radical changes in marketing research in order to envisage a truly sustainable future. We are therefore formulating a program based on five proposals with the aim of inviting profound transformations in the discipline.
ARNOULD Eric - FNEGE |
En 1966, William Baumol et William Bowen, deux chercheurs américains, s’intéressent au secteur des arts et de la culture, et plus particulièrement au spectacle vivant. Ils constatent alors la très faible possibilité d’obtenir des gains de productivité et une prépondérance des coûts structurels fixes sur les coûts variables. Cette situation crée, à terme, des déficits structurels pour les organisations artistiques et culturelles. Parfois appelée "maladie des coûts", cette situation économique est, de surcroît, aggravée par les exigences sociétales à l’égard des arts et de la culture. Elle sous-estime cependant la capacité d’innovation des organisations artistiques et culturelles ou encore l’exploitation d’activités découlant d’un concert ou d’un spectacle, tels que les produits dérivés. Enfin, ce sont toutes les externalités économiques et non économiques qui ne sont pas prises en compte dans ce modèle.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |