FNEGE MEDIAS

Épisodes du podcast

Le DBA est encore méconnu des entreprises francophones, alors qu’il pourrait leur apporter de nouvelles compétences face aux crises et aux changements. De plus, son manque de reconnaissance en France nuit à la compétitivité des entreprises et des écoles de management face aux institutions anglo-saxonnes. Ce programme doctoral mérite donc d’être mieux valorisé pour son impact et son apport stratégique.
KALIKA Michel - iaelyon School of Management |
L'étude menée par la FNEGE sur l'adoption des intelligences artificielles génératives (IAG) dans l'enseignement supérieur révèle plusieurs points clés. Tout d’abord, les étudiants utilisent massivement ces outils, qu’ils voient comme un compagnon de travail, tandis que les professeurs les utilisent moins fréquemment, plutôt pour déléguer certaines tâches. Ensuite, au-delà des bénéfices constatés, certains défis sont identifiés, concernant notamment la fiabilité des IAG, le plagiat et la diminution de l’analyse critique des étudiants. Enfin, il apparait indispensable de former les étudiants comme les professeurs, pour favoriser une utilisation éthique et efficace de ces outils.
LOUPIAC Philippine - TBS Education |
This study examines the association between zombie firms and their environmental and social performance. Using a global dataset of listed firms from 49 countries between 2002 and 2019, we find that zombie firms perform poorly on environmental and social responsibility fronts. This finding supports the argument that zombie firms are characterized by consistent losses and that their existence is risky without external support. Zombie firms, while struggling for survival, may not be able to undertake environmental and social activities that require huge investments, thus falling behind other firms. Further analysis highlights that eco-innovation, the presence of a sustainability committee, and industry nature (i.e., heavily polluting industries) mitigate the negative impact of firms’ zombie status on their environmental and social performance. Moreover, a zombie firm’s engagement in environmental and social activities improves its financial performance. Our main findings are robust to a battery of estimation techniques, alternative proxies, selection bias, and endogeneity issues.
MASHWANI Asad Iqbal - EDC Business School |
Le rapport FNEGE analyse l’impact des IA génératives dans l’enseignement supérieur en management. L’essor rapide d’outils comme ChatGPT et GPT-4 transforme l’apprentissage et le travail des étudiants, qui les adoptent en masse. Cette évolution pose des défis aux enseignants et institutions pour une intégration optimale. Il faut former à un usage responsable, tout en préservant esprit critique et rigueur scientifique. Le rapport propose un état des lieux et des pistes d’action face à ces enjeux.
GOUDEY Alain - NEOMA Business School |
Les Intelligences Artificielles Génératives (IAG) sont omniprésentes depuis 2023, influençant divers secteurs, y compris l'enseignement en management. L’étude de la Fnege (juillet 2024) révèle leur intégration dans le quotidien des enseignants et des étudiants, qui demande une réflexion urgente sur les pratiques dans l’enseignement supérieur de gestion. Quatre jalons clés sont proposés : informer et sensibiliser les parties prenantes aux avantages et dangers des IAG, établir une charte éthique d'utilisation, repenser les objectifs pédagogiques, et enfin, expérimenter avec soin en évaluant tous les impacts de ces outils pour nos établissements.
QUINIO Bernard - FNEGE |
Les transformations qui traversent le monde du travail sont multiples : numériques, écologiques, économiques, sanitaires ou encore géopolitique. Quel rapport entretiennent en 2023 les salariés français à leur travail et à ces transformations ? C’est à cette question que se sont intéressés le «HRM Transformations Lab» et la chaire « Inventivités Digitales » d’Institut Mines-Télécom Business School. Ils ont conduit une étude composée de 74 questions sur un échantillon d’un peu plus de 1 000 salariés français. Cette étude montre : 1. Des salariés positifs, quand ils ne sont pas très positifs, quand ils s’expriment sur leur travail, 2. Des salariés inquiets, pour ne pas dire très inquiets, quant aux transformations en cours, à l’exception de la transformation digitale prise dans son ensemble. Auteurs : Emmanuel Baudoin, Flavien Bazenet, Olivier Ségard.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
BAZENET Flavien - IMT Business School |
SEGARD Olivier - IMT Business School |
Un peu plus de 9 salariés sur 10, 91,5% précisément, indiquent avoir recours au numérique pour réaliser la totalité ou une partie de leurs tâches au travail. S’il fallait encore s’en convaincre, le numérique est incontournable dans le quotidien des salariés. Mais quel rapport ont ces derniers à cette transformation numérique, comprise dans sa globalité ? Le HRM Transformations Lab d’Institut Mines-Télécom Business School, avec le soutien de la chaire « Inventivités digitales », du CFA EVE, du groupe OpenSourcing et de l’ANDRH Essonne a conduit trois études sur un échantillon représentatif d’un peu plus de 1 000 salariés français, en 2016, 2018 et 2023. Ces études montrent : 1. Un rapport global des salariés au numérique positif, 2. Le développement de pratiques numériques autonomes par l’existence de figure comme le salarié Self-RH et le salarié agile.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
Le Phishing ou en français « hameçonnage » est une technique de fraude informatique mise en place par les cybercriminels qui consiste à se faire passer pour une entité de confiance comme un site de commerce, une banque ou un réseau social afin de récupérer des informations sensibles comme des mots de passe, des données personnelles ou des identifiants bancaires. C'est une menace majeure dans le domaine de la cybersécurité.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
L'obsolescence programmée est une stratégie commerciale mise en œuvre par certaines marques afin de réduire intentionnellement la durée de vie des produits et ainsi encourager la fréquence de leur remplacement.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Le content shock ou en français le « choc de contenus » est un concept « pessimiste » théorisé par le spécialiste en marketing Mark Schaefer en 2014. Le content shock se définit comme le moment où la quantité de contenu produit dépasse la capacité des individus à le consommer et surtout à l'assimiler. Dans le cadre d'une stratégie de Content Marketing, la sur-présence d'une marque auprès du consommateur par une surabondance de contenus peut engendrer une « fatigue publicitaire » et dégrader l'image de la marque auprès de sa cible.
BOUCHER PELLEGRIN Estelle - Montpellier Management |