Théorie des Organisations
Théorie des Organisations
Qu'est-ce que la théorie des coûts de la transaction ?
Loading
/

64 écoutes

Partager

Qu’est-ce que la théorie des coûts de la transaction ?

La théorie des coûts de transaction d’Oliver Williamson offre un cadre analytique précieux pour comprendre les mécanismes qui régissent les transactions, les organisations et la gouvernance, notamment face à un choix d’internalisation ou d’externalisation. Cette théorie nous permet de comprendre pourquoi certaines activités sont internalisées au sein d’organisations verticale, comment les différentes formes de gouvernance sont choisies en fonction des coûts de transaction, et pourquoi les fusions et acquisitions sont souvent motivées par des considérations liées aux coûts de transaction.

Mots clés

Auteur.e(s)

Institution(s)

Médias de la même institution

La digitalisation de l’hôtellerie exige une modernisation des services pour répondre aux attentes actuelles des clients. Cette étude qualitative, fondée sur des entretiens avec des professionnels et des consommateurs, révèle que les technologies digitales, à la fois traditionnelles et disruptives telles que les CRM, les applications mobiles, l’intelligence artificielle, et la réalité augmentée, enrichissent considérablement l’expérience client. Ces technologies, qui permettent des séjours personnalisés et immersifs, doivent être complétées par des interactions humaines afin d’optimiser l’expérience globale. L’étude met en avant la création de valeur par la personnalisation, l’automatisation, l’interaction, et le soin, tout en soulignant les défis liés à l’adoption technologique face à la diversité des attentes des clients.
YOUSSOFI Alexandra - OMNES Education |
JEANNOT Florence - OMNES Education |
L’adaptation du design d’interface aux incapacités des utilisateurs est essentielle pour améliorer l’accessibilité du Web. Une étude menée auprès d’une centaine d’utilisateurs, présentant des incapacités permanentes ou temporaires, montre que cette personnalisation explicite du design améliore la satisfaction liée à l’expérience en ligne. Elle facilite d’abord l’utilisation et augmente ensuite le plaisir ressenti. Trois recommandations clés sont faites aux praticiens : prioriser la satisfaction des utilisateurs en ligne, accorder une attention particulière à l’e-personnalisation explicite de design, et intégrer les aspects cognitifs et émotionnels dans l’évaluation des interfaces.
JONGMANS Eline - FNEGE |
JEANNOT Florence - OMNES Education |
Vous venez d'être engagé(e) comme brand content manager avec pour principale mission de créer un contenu éditorial pour la marque Voisin, chocolatier lyonnais, qui répond à la problématique suivante : comment réussir la transition digitale du chocolatier Voisin en capitalisant sur son héritage lyonnais ? Vous devrez répondre à cette problématique en trois temps, ces derniers correspondants aux trois stades de la communication de marque : construire un prisme d'identité, établir un diagnostic digital et proposer une stratégie éditoriale à l'aide des nombreux outils conceptuels et méthodologiques fournis dans le cas.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
BEN ARFI Wissal - FNEGE |
HALLEM Yousra - OMNES Education |
La publicité est un lieu de métamorphoses : des métamorphoses de discours, des métamorphoses de canaux, de sujets et de publics. Elle se transforme en même temps que la société évolue, et semble en permanence opérer une révolution : le métavers, l’intelligence artificielle, plus globalement les ruptures technologiques qui ont un effet sur le contenu de la publicité, ses modes de diffusion, ses publics et même ses métiers. C’est ce dont l’ouvrage collectif « Les dessous de la publicité » essaie de rendre compte, en réunissant des experts issus de tous bords : universitaires, journalistes, professionnels praticiens, ils ont tous en commun une pensée de cet objet qui questionne le statut quo et tente de dépasser la simple fascination ou répulsion. Tout en proposant des pistes de réflexion et d’exploitation qui peuvent nous permettre de repenser les pratiques publicitaires. Ici, Marie-Nathalie Jauffret présente sa contribution « Les biodigitaux réinventent la pub » dans un entretien avec Frédéric Aubrun, co-directeur de cet ouvrage collectif aux éditions Ellipses.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |

Médias de la même thématique

L’actionnariat salarié désigne la détention d’actions d’une entreprise par ses salariés. Très répandu en France, il concerne plus de 3 millions de salariés, qui détiennent en moyenne 3,9 % du capital des entreprises du CAC40, mais reste rare dans les PME (1 sur 100). Accessible à tous les salariés, il bénéficie d’avantages fiscaux depuis les années 60 et d’un consensus politique. Toutefois, il englobe des réalités variées selon la taille de l’entreprise, le pourcentage du capital détenu, et la répartition des actions entre salariés. Aux États-Unis, la recherche a majoritairement étudié des PME où les salariés possèdent 30 % du capital, montrant des bénéfices comme une meilleure performance, une implication accrue des salariés, et une attractivité renforcée. L’actionnariat salarié a été pensé dès ses origines comme un moyen d’harmoniser les relations entre capital et travail, son impact réel dépendant de sa mise en œuvre équitable.
AUBERT Nicolas - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
Le diagnostic stratégique constitue un préalable fondamental à la conception de sa stratégie, son « bâton de pèlerin », au travers notamment d’outils comme la matrice SWOT ou le modèle des cinq forces de Porter. Néanmoins, ils poursuivent avant tout un objectif de compétitivité économique et éludent les questions sociales, sociétales et environnementales, alors que les premiers effets de la crise écologique ont commencé à se faire ressentir. Se pose donc la question de la pertinence des outils de diagnostic stratégique ou, au moins, s’il ne conviendrait pas de les enrichir afin d’incorporer des parties prenantes étendues à la société civile et à l’environnement. Nous nous sommes ainsi intéressés à trois voies d’incorporation de ces parties prenantes externes. Nous avons ainsi discuté la pertinence de généraliser la mise en œuvre de stratégies de RSE, d’encourager l’inscription des entreprises comme sociétés à mission, voire l’adoption de statuts relevant de l’Économie Sociale et Solidaire. Chacune ayant ses avantages mais aussi ses limites, nous concluons à l’intérêt de les mobiliser de manière complémentaire.
MULLER Paul - FNEGE |
Appliqué au management des organisations, le management symbiotique, pris dans une acception large, peut-être définit comme une association, qui tend à être durable et mutuellement bénéfique, entre et, au sein, d’un groupe d’individu avec leurs différents environnements. Ces environnements recouvrent notamment les environnements écologiques, sociaux, économiques, culturels et numériques.
AKAMBI Boladé - FNEGE |
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
TEAMS, Excel, PowerPoint, Whatsapp, Outlook, ChatGPT sont quelques exemples d'outils numériques constituant le quotidien de travail de nombre de salariés et agents, particulièrement du tertiaire. La sur-numérisation correspond à ce phénomène d'expansion du nombre d'outils numériques dans le travail quotidien des salariés et agents. Cette expansion se retrouve à la fois dans le nombre d'outils numériques utilisés de manière formelle mais également informelle dans les organisations. Cette expansion à la fois verticale et horizontale en termes de groupes de tâches effectués par les salariés et agents. Cette notion est aussi affaire de perception comme le montre le travail doctoral en cours de Séverine Halopeau.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
HALOPEAU Séverine - FNEGE |
TCHEMENIAN Géraldine - FNEGE |
GOSSART Cédric - IMT Business School |
VANDANGEON-DUREMENEZ Isabelle - FNEGE |

Découvrez nos podcasts