Théorie des Organisations
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Qu'est-ce que la bureaucratie ?
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Qu’est-ce que la bureaucratie ?

Le terme bureaucratie est devenu assez péjoratif, mais on retrouve ses principes derrière d’autres intitulés : démarche qualité, reengineering, workflow et la bureaucratie se cache derrière les progiciels de gestion, la formation des salariés et d’autres démarches qui visent à standardiser les procédés de travail.

 

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Je ne me fais pas trop de soucis, parce que le monde de la recherche ne se laissera pas brider. S’il y a de la connaissance à partager, les chercheurs trouveront le moyen de le faire", assure Frédérique Vidal, ancienne ministre de l’ESR et actuelle conseillère du président de l’EFMD, invitée du 31e épisode du "Grand Oral AEF info x Fnege". Dans ce podcast de 30mn, elle évoque son passage rue Descartes et les leçons qu’elle en tire, mais donne aussi son avis sur le monde des business schools et leurs défis actuels, et évoque les bouleversements en cours : États-Unis, IA, militarisation, etc.
VIDAL Frédéric - FNEGE |
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
Le projet de ce Livre Blanc vise à mieux faire connaître les DBA et à obtenir leur reconnaissance par les autorités. Face à la croissance rapide du marché des DBA, souvent marqué par un manque de régulation, le Livre Blanc recommande une communication accrue pour valoriser la rigueur et l'impact du DBA, notamment via des événements ou des prix. Il préconise aussi une certification par des instances légitimes comme le ministère du Travail ou le MESR, afin d'assurer la reconnaissance officielle de la qualité des programmes DBA.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
La publication de ce Livre Blanc a été rendue possible grâce à une communauté de collègues engagés et malgré la contrainte du temps. Douze établissements ont partagé leur expertise sur les programmes de DBA, mettant en avant leur qualité et leur impact. Ce travail, soutenu par la FNEGE et ses partenaires, donne la parole aux docteurs pour illustrer la valeur de leur parcours.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
La conversion, essentielle en marketing digital, correspond à l'action d'un visiteur accomplissant un objectif clé, comme un achat ou une inscription. Trois éléments sont fondamentaux pour maximiser les conversions : une expérience utilisateur optimisée, avec un site rapide et intuitif comme Amazon; des messages pertinents et personnalisés, soutenus par des pages claires et des appels à l'action efficaces; et enfin, la confiance, renforcée par des avis clients ou des garanties. Des exemples comme Spotify, Booking.com ou Netflix montrent comment simplifier le parcours client ou créer un sentiment d'urgence peut transformer des visiteurs en clients fidèles. Les outils digitaux, tels que les tests A/B ou les heatmans, facilitent ces optimisations. Avec l'intelligence artificielle, des entreprises comme Google et IBM Watson personnalisent encore davantage les expériences, augmentant les taux de conversion. La conversion, bien plus qu'un indicateur, est désormais une méthode clé pour transformer une intention en action concrète.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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Cette recherche analyse la transformation digitale des entreprises industrielles sur le temps long, en s’appuyant sur le cas de l’industrie automobile. Elle montre que la digitalisation, amorcée depuis plusieurs décennies, s’inscrit dans une dynamique historique complexe. L’étude adopte une approche systémique et prospective, révélant six grandes périodes de co-évolution technologique. Elle souligne que la transformation digitale est à la fois continue et marquée par des ruptures, influencée par l’articulation produit-service-processus. L’ouvrage invite à repenser les stratégies digitales avec une approche intégrative, multidimensionnelle et interdisciplinaire, en valorisant l’expérience passée pour mieux accompagner les mutations futures.
FABBE-COSTES Nathalie - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
L’intelligence artificielle est omniprésente en entreprise, mais son usage reste souvent mal structuré. Notre recherche propose une méthodologie en quatre étapes pour cartographier les usages de l’IA et en évaluer les risques. Nous avons identifié trois catégories de risques : managériaux, organisationnels et juridiques. Nos résultats montrent que l’IA est souvent déployée sans vision globale, que les risques sont sous-évalués et qu’une gouvernance adaptée est essentielle. Nous recommandons aux entreprises de cartographier leurs usages, de réaliser des audits réguliers, de mettre en place un cadre de gouvernance clair et de former leurs équipes. L’objectif est de faire de l’IA un levier de transformation maîtrisé plutôt qu’une source de risques mal anticipés.
SCHOCH Patrice - EDC Business School |
Le Contrat psychologique (PCO, Psychological Contract in Organizations) est une théorie et une méthode qui permet de mieux comprendre pourquoi, face à un même événement, certains percevront une violation contractuelle et d’autres, un simple ajustement. Fondé fin 1990 aux Etats-Unis, ces travaux en comportement organisationnel se développent dans les pays francophones à partir de leur traduction/adaptation en 2015. Le PCO décrit la complexité et la varité des engagements organisationnels : il est idiosyncrasique (personnel et biographique) mais aussi normatif, c’est-à-dire partagé par plusieurs individus dans une profession ; il est relationnel lorsque l’enjeu vise absolument à maintenir l’engagement ou à l’inverse purement transactionnel. Face aux problématiques de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), respecter et gérer ces formes d’engagement contractuel améliorent la vie organisationnelle.
DE ROZARIO Pascale - LIRSA-CNAM |
La problématique contemporaine du contrôle interne est celle de la qualité de son management. Certaines organisations souffrent d’un sous contrôle interne, qui ne permet pas de maîtriser les risques. D’autres, notamment dans le secteur public, d’un sur contrôle interne, dont la bureaucratie, l’excès de procédures, ou de leur utilisation déviante sont alors les symptômes. Ces défauts de management entraînant des coûts cachés gigantesques pouvant menacer la survie-développement de l’organisation. Quelles sont alors les clés d’un bon management du système de contrôle interne ? Il y en a deux essentielles : - la qualité de l’identification des risques via une cartographie des risques pertinentes et stimulantes, pour laquelle l’IA et les coûts-performances peuvent aider ; - la qualité de l’intégration des normes au sens large – celles imposées (comme les lois) ou celles créées (comme les procédures) pour maîtriser les risques – par le potentiel humain en charge de les faire vivre, et qui renvoie fondamentalement à l’humain et son comportement.
CAPPELLETTI Laurent - LIRSA-CNAM |

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