Développement Durable et RSE
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Pourquoi verdir l’évaluation ?
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Pourquoi verdir l’évaluation ?

L’évaluation est une pratique de GRH a forts enjeux pour le salarié et pour l’entreprise. Elle constitue une réponse aux attentes de l’employé qui a besoin de savoir ce que l’on pense de lui et elle fournit des informations indispensables pour de nombreuses décisions de GRH. L’évaluation verte s’inscrit dans la GRH verte, c’est-à-dire soucieuse de l’impact de l’entreprise sur l’environnement. Elle est naturellement pratiquée dans les entreprises qui ont adopté un SME, systéme de management environnemental, elle nécessite plus de préparation dans celles qui n’ont pas fait ce choix.

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oulouse School of management, l’IAE toulousain rattaché à l’université Toulouse-I Capitole, n’est que le 4e établissement public français - et le 2e IAE - à obtenir l’accréditation Equis, délivrée par l’EFMD, marque de qualité et de reconnaissance : Hervé Penan, son directeur, invité du podcast "Le Grand Oral AEF info/Fnege", explique sa stratégie et ce que cela va changer pour l’institution.
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
PENAN Hervé - Toulouse School of Management |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
« Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
Les parties prenantes font une entrée fracassante en gestion à partir de l’ouvrage qu’un philosophe (Ed. Freeman) publie en 1984 : « Strategic Management: A Stakeholder Approach ». Depuis ce concept est devenu un pilier de toute stratégie RSE. Une entreprise désirant se lancer en RSE doit identifier ses parties prenantes, s’informer de leurs attentes et en tenir compte dans sa stratégie RSE.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |

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Le capital humain regroupe l’éducation, les expériences, compétences, connaissances et la santé mentales d’une personne.
BACHA Eliane - SKEMA Business School |
La diversité en entreprise consiste à réunir des employés aux profils variés, favorisant la créativité, productivité, le bien-être et la performance organisationnelle. Elle offre de nombreux avantages tels que l’échange d’idées, l’accès à de nouveaux marchés et une meilleure image, mais nécessite une attentivité des managers pour prévenir malentendus et conflits.
BACHA Eliane - SKEMA Business School |
Le changement en entreprise consiste à accompagner les employés dans l’adoption de nouvelles méthodes de travail.
BACHA Eliane - SKEMA Business School |
This study examines the association between zombie firms and their environmental and social performance. Using a global dataset of listed firms from 49 countries between 2002 and 2019, we find that zombie firms perform poorly on environmental and social responsibility fronts. This finding supports the argument that zombie firms are characterized by consistent losses and that their existence is risky without external support. Zombie firms, while struggling for survival, may not be able to undertake environmental and social activities that require huge investments, thus falling behind other firms. Further analysis highlights that eco-innovation, the presence of a sustainability committee, and industry nature (i.e., heavily polluting industries) mitigate the negative impact of firms’ zombie status on their environmental and social performance. Moreover, a zombie firm’s engagement in environmental and social activities improves its financial performance. Our main findings are robust to a battery of estimation techniques, alternative proxies, selection bias, and endogeneity issues.
MASHWANI Asad Iqbal - EDC Business School |

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