Épisodes de podcasts

Recherche par mots clés

Recherche par mots clés

Établissements

Établissements

Auteurs

Auteurs

Thématiques

Thématiques

Formats

Formats

Dico du management

Dico du management

Types de média

Types de média
Le 28 mars 1979, l’accident nucléaire de Three Mile Island en Pennsylvanie a marqué un tournant dans la gestion des risques majeurs. En 1984, le sociologue Charles Perrow en a tiré une analyse montrant que les organisations complexes et fortement couplées seraient inévitablement sujettes à des « Accidents Normaux » majeurs. Cependant, des chercheurs de l’université de Berkeley ont montré que ces mêmes organisations présentaient aussi un taux extrêmement faible d’accidents ou d’incidents. Ils les appellent « Organisations à Haute Fiabilité ».
SZPIRGLAS Mathias - IAE Paris-Est |
Les 4 activités du management peuvent être résumées selon l’acronyme PODC (Planifier, Organiser, Diriger, Contrôler) établi par Henri Fayol en 1916. Planifier implique de définir des objectifs et de tracer un chemin cohérent pour les atteindre. Organiser concerne la coordination de l’action collective et la mobilisation des ressources. Diriger consiste à donner une direction et à réorienter l’action en cas d’imprévu. Contrôler vérifie la réalisation des plans et favorise l’apprentissage pour progresser. Ces activités, interagissent souvent simultanément dans la pratique du management.
Cet article explore les défis rencontrés par les acteurs socio-économiques dans la mise en pratique de l’économie circulaire, un modèle prometteur qui vise à concilier création de valeur économique et préservation de l’environnement. En se concentrant sur le secteur de la construction au niveau territorial, l’article propose une réflexion sur la transition vers l’économie circulaire, en tenant compte des imaginaires, des pratiques organisationnelles et des dispositifs mobilisés par les acteurs publics et privés. Il présente un modèle d’ingénierie politique articulé autour de quatre axes : la conception de nouveaux imaginaires, le développement d’innovations circulaires, la mise en place de méthodes pour guider l’action collective, et la structuration d’écosystèmes favorisant l’émergence de nouvelles pratiques. Ce modèle vise à stimuler l’innovation et à accompagner la transition des territoires vers l’économie circulaire en mobilisant les acteurs socio-économiques.
NTSONDE Joel - ISTEC Business School |
L’innovation responsable vise à résoudre la question de la conciliation entre innovation, progrès sociétal et respect de l’environnement. Ce concept découle des réflexions du philosophe Hans Jonas sur la responsabilité de l’Humanité face au pouvoir technologique. Dans les années 2010, l’Union européenne a soutenu des recherches sur l’innovation responsable pour réduire les risques liés aux nouvelles technologies. Ces travaux ont mis en avant quatre dimensions clés : anticipation, réflexivité, inclusivité et réactivité. Cependant, l’innovation va au-delà de la technologie, affectant divers aspects de la société. A présent, le concept d’innovation responsable est abordé de manière plus large, incluant des axes comme les innovations sociales et écologiques, l’amélioration des méthodes d’innovation, une vision systémique et des stratégies de gouvernance adaptées. L’enjeu principal est de transformer l’approche stratégique et organisationnelle de l’innovation pour la rendre plus responsable envers la société et l’environnement.
NTSONDE Joel - ISTEC Business School |
When investors hold disproportionately high carbon emitters with associated increased carbon risk, a positive relationship exists between a firm’s carbon emissions and the association between the stock returns and dividend payment. If investors hold disproportionately high carbon emitters with the associated increased carbon risk stocks, the stock market reacts less positively (more negatively) to dividend increase (decrease) announcements. At the same time, if firms under-price their carbon risk, the stock market reacts less positively (more negatively) to dividend increase (decrease) announcements.
NGUYEN Duc Khuong - EMLV |
Le retail media est un levier clé du commerce qui représentera 25% de la publicité digitale d’ici 2026 selon le BCG. Il s’agit de stratégies publicitaires déployées par les marques sur les sites, applications mobiles et magasins des distributeurs pour toucher les consommateurs juste avant ou pendant leurs achats. Cela offre une visibilité accrue pour les marques et permet aux distributeurs de monétiser leurs données clients. Présent dans tous les secteurs de la distribution, le retail media est multi-canal, englobant des formats comme les bannières, publicités natives et vidéos. Les publicités peuvent être diffusées sur le site du retailer (on-site) pour inciter à l’achat ou sur des sites partenaires (off-site) pour le reciblage. Le marché, dominé par des acteurs comme Amazon et Alibaba, repose sur une collecte précise de données et des outils de ciblage sophistiqués.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
La publicité programmatique optimise l’achat et la vente d’espaces publicitaires en ligne via des logiciels et des algorithmes. Au cœur de ce système se trouve l’enchère en temps réel (RTB), où les impressions publicitaires sont mises aux enchères en quelques millisecondes en fonction du profil de l’utilisateur sur des Ad Exchanges. Les annonceurs utilisent des plateformes côté demande (DSP) pour enchérir sur ces impressions, ciblant des audiences spécifiques, tandis que les éditeurs emploient des plateformes côté offre (SSP) pour maximiser leurs revenus publicitaires. Le processus implique des agences spécialisées ou des Trading Desks, et de plus en plus, les annonceurs préfèrent les accords privés pour de meilleurs tarifs et des environnements sécurisés. Les défis de la programmatique incluent la complexité, la qualité de l’inventaire, la fraude et les problèmes de respect de la vie privée.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Le marketing d’affiliation est un modèle où un annonceur récompense des partenaires pour chaque vente ou action réalisée grâce au trafic qu’ils génèrent. Les acteurs principaux incluent les annonceurs qui proposent des offres, les affiliés qui promeuvent ces offres sur leurs plateformes, et les plateformes d’affiliation qui coordonnent la relation et gèrent les paiements. Les affiliés utilisent des liens de suivi pour diriger le trafic vers les annonceurs, et les commissions sont calculées en fonction des ventes ou actions spécifiques. Ce modèle présente plusieurs modes de rémunération, tels que le coût par vente, par lead ou par clic. Cependant, le marketing d’affiliation fait face à des défis comme la fraude au clic, les conflits d’attribution et la saturation du marché, tout en offrant l’avantage de réduire les risques financiers pour les marques et d’offrir une monétisation pour les affiliés.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
L’équipe pédagogique du Challenge Knowledge Management a conçu un dispositif mixant serious game multi-joueurs de quatre jours en présentiel et en ligne, avec du coaching en présentiel. Ce serious game collaboratif d’une dizaine d’heures repose sur un cas dans un univers connu de tous, la cuisine. L'originalité du projet réside dans la mise en place d'un dispositif complet de pédagogie inductive incluant une préparation en amont, des debriefings, des auto-évaluations ante et post séminaires, ainsi qu’une évaluation par les pairs, offrant aux étudiants l'opportunité, non seulement de se familiariser avec les concepts de gestion des connaissances, mais aussi de les expérimenter concrètement et de se projeter dans la vie associative et plus tard professionnelle.
TOUSTOU Béatrice - SKEMA Business School |
OTMANINE Irina - SKEMA Business School |
ABELIN Jean-Luc - FNEGE |
Pour de futurs juristes ou avocats, mieux vaut prendre conscience le plus tôt possible de la responsabilité de ses écrits. Pour ce faire, Hélène Tostain, professeur d’Anglais à SKEMA Business School qui intervient notamment dans le Master Droit des Affaires, a demandé à ses étudiants de Master 1 d’écrire et de publier des articles… sur un sujet particulièrement délicat : l’avortement. Recherches, débats entre étudiants, création d’un blog, organisation d’expositions et d’une conférence… La pédagogie inversée encadrée par la direction Innovation et Learner Experience de SKEMA a permis aux étudiants de prendre des initiatives et de développer leurs capacités à travailler en groupe, qui plus est dans une langue étrangère et dans un cadre limité par la forme et le temps.
TOSTAIN Hélène - SKEMA Business School |
Les flux touristiques sont à l’origine de concentrations de plus en plus fortes de touristes notamment dans les lieux considérés comme particulièrement attractifs, ces pépites incontournables dont les destinations se vantent, voire des lieux uniques dont la médiatisation peut être mondiale. Le Magazine Forbes établit un classement de ces endroits les plus « instagrammables ».
RIMAUD Marie-Noëlle - Excelia Business School |
La performance sociale en Supply Chain Management est un concept crucial mais souvent méconnu. Contrairement aux performances opérationnelles et financières, elle se concentre sur les impacts sociaux des opérations d’une entreprise, y compris dans sa supply chain ou chaîne d’approvisionnement. Cela inclut les conditions de travail, les droits des travailleurs, la diversité, l’inclusion et les initiatives communautaires. Cette performance est cruciale pour plusieurs raisons : elle renforce la réputation de l’entreprise, attire les talents, réduit les risques de réputation et de conflits sociaux, et contribue à la fidélisation des employés. Pour améliorer cette performance sociale, les entreprises doivent évaluer régulièrement leurs pratiques sociales, collaborer avec leurs partenaires dans la supply chain et s’engager avec des parties prenantes externes. En conclusion, la performance sociale est un élément clé de la durabilité des entreprises, soulignant l’importance de leur impact social au-delà des frontières organisationnelles.
RUEL Salomée - Excelia Business School |