Qu’est-ce que la soutenabilité ?

En français, la soutenabilité renvoie bien souvent à des enjeux essentiellement financiers, la soutenabilité de la dette étant par exemple une préoccupation à la fois politique et managériale. Pourtant, notre langue offre aussi une vision différente de la soutenabilité, au sens de ce qui peut être supporté. La soutenabilité est l’idée que les biens et services devraient être produits de telle manière qu’ils n’utilisent pas de ressources qui ne pourraient être remplacées et qui n’endommagent pas l’environnement. Il s’agit d’un développement qui peut être supporté par les limites sociétales et environnementales. L’organisation internationale de normalisation (ISO) a le même discours, faisant de la soutenabilité un état de l’ensemble des systèmes (environnementaux, sociaux, économiques) qui parviennent alors à satisfaire les besoins du présent sans que les générations futures ne soient empêchées de répondre aux leurs. La soutenabilité d’un pays ou d’une organisation est donc le but du développement durable.

Qu’est-ce que la soutenabilité ?

En français, la soutenabilité renvoie bien souvent à des enjeux essentiellement financiers, la soutenabilité de la dette étant par exemple une préoccupation à la fois politique et managériale. Pourtant, notre langue offre aussi une vision différente de la soutenabilité, au sens de ce qui peut être supporté. La soutenabilité est l’idée que les biens et services devraient être produits de telle manière qu’ils n’utilisent pas de ressources qui ne pourraient être remplacées et qui n’endommagent pas l’environnement. Il s’agit d’un développement qui peut être supporté par les limites sociétales et environnementales. L’organisation internationale de normalisation (ISO) a le même discours, faisant de la soutenabilité un état de l’ensemble des systèmes (environnementaux, sociaux, économiques) qui parviennent alors à satisfaire les besoins du présent sans que les générations futures ne soient empêchées de répondre aux leurs. La soutenabilité d’un pays ou d’une organisation est donc le but du développement durable.

Qu’est-ce que la responsabilité sociétale des associations ?

La responsabilité sociétale des organisations se diffuse à l’ensemble des entités, privées comme publiques. Cette situation conduit aujourd’hui les associations loi 1901 à également penser leur responsabilité sociétale. Trop souvent plaquée sur celle des entreprises, elle doit être cadrée dans le contexte spécifique des associations. La responsabilité sociétale des associations est en premier lieu de s’assurer que la mission et les valeurs se diffusent dans toute l’organisation. Il s’agit ensuite de demeurer en conformité avec la loi, pour survivre, tout simplement. La responsabilité des associations porte également sur un certain nombre d’aspects de réédition des comptes et de transparence vis-à-vis de la performance de l’organisation dans sa vie quotidienne. Il s’agit aussi d’avoir un comportement éthique à la tête de l’association comme sur le terrain. Plus globalement, les associations peuvent se montrer exemplaires, d’abord parce qu’elles ont un rôle de politisation fondamental et donc un rôle citoyen, mais aussi parce qu’elles peuvent être motrices de l’innovation sociétale.

Qu’est-ce que la responsabilité sociétale des associations ?

La responsabilité sociétale des organisations se diffuse à l’ensemble des entités, privées comme publiques. Cette situation conduit aujourd’hui les associations loi 1901 à également penser leur responsabilité sociétale. Trop souvent plaquée sur celle des entreprises, elle doit être cadrée dans le contexte spécifique des associations. La responsabilité sociétale des associations est en premier lieu de s’assurer que la mission et les valeurs se diffusent dans toute l’organisation. Il s’agit ensuite de demeurer en conformité avec la loi, pour survivre, tout simplement. La responsabilité des associations porte également sur un certain nombre d’aspects de réédition des comptes et de transparence vis-à-vis de la performance de l’organisation dans sa vie quotidienne. Il s’agit aussi d’avoir un comportement éthique à la tête de l’association comme sur le terrain. Plus globalement, les associations peuvent se montrer exemplaires, d’abord parce qu’elles ont un rôle de politisation fondamental et donc un rôle citoyen, mais aussi parce qu’elles peuvent être motrices de l’innovation sociétale.

Qu’est-ce que la gouvernance selon l’ISO 37000 ?

L’ISO 37000  considère que la gouvernance repose sur une finalité et va alors s’appuyer sur 4 principes : la création de valeur,  la stratégie, la surveillance et enfin la redevabilité. Ensuite, ces principes fondamentaux sont facilités par toute une série de principes complémentaires : le dialogue avec les parties prenantes, le leadership, les données, la gouvernance du risque, la responsabilité sociétale ainsi que la viabilité et la pérennité de la performance. Les 3 principaux résultats de la gouvernance, si elle est efficace, si elle est de qualité, si elle est collective, sont une performance effective, une série de comportements éthiques et une gestion dite responsable.

Qu’est-ce que la gouvernance selon l’ISO 37000 ?

L’ISO 37000  considère que la gouvernance repose sur une finalité et va alors s’appuyer sur 4 principes : la création de valeur,  la stratégie, la surveillance et enfin la redevabilité. Ensuite, ces principes fondamentaux sont facilités par toute une série de principes complémentaires : le dialogue avec les parties prenantes, le leadership, les données, la gouvernance du risque, la responsabilité sociétale ainsi que la viabilité et la pérennité de la performance. Les 3 principaux résultats de la gouvernance, si elle est efficace, si elle est de qualité, si elle est collective, sont une performance effective, une série de comportements éthiques et une gestion dite responsable. 

The Role of Politics for Firms’ Internationalization

We disaggregate the notion of ‘politics of internationalization’ through identification of a set of distinct dimensions in which politics affect firm internationalization.
We find that EMNE strategies are becoming more entangled with those of governments, political parties, lobbyists, and other formal and informal institutions. In emerging economies, the state often plays a relatively active role in the economy, and EMNE strategies are more conditioned by politics, policies, and non-market considerations.
We argue that the ability to leverage politics is becoming more important for the competitive advantage of EMNEs, and firms are increasingly engaging in political activities through nonmarket strategies.

The Role of Politics for Firms’ Internationalization

We disaggregate the notion of ‘politics of internationalization’ through identification of a set of distinct dimensions in which politics affect firm internationalization.

We find that EMNE strategies are becoming more entangled with those of governments, political parties, lobbyists, and other formal and informal institutions. In emerging economies, the state often plays a relatively active role in the economy, and EMNE strategies are more conditioned by politics, policies, and non-market considerations.

We argue that the ability to leverage politics is becoming more important for the competitive advantage of EMNEs, and firms are increasingly engaging in political activities through nonmarket strategies.

Changer le modèle économique de l’eau potable

L’eau, cette ressource si précieuse et indispensable à la vie, se trouve aujourd’hui au cœur de nombreux enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Pourtant, il a fallu attendre longtemps avant que la communauté internationale ne prenne véritablement conscience de la gravité des risques liés à l’eau. Aujourd’hui, nous faisons face à une question cruciale : comment organiser la gestion de l’eau dans un contexte de raréfaction croissante ? Cela nécessite de repenser en profondeur notre modèle économique de l’eau, qui, à ce jour, repose principalement sur les volumes consommés. Ce changement nécessite des réformes profondes mais nécessaires pour garantir que l’eau, en tant que bien commun global, reste accessible à tous, aujourd’hui et pour les générations futures.

Changer le modèle économique de l’eau potable

L’eau, cette ressource si précieuse et indispensable à la vie, se trouve aujourd’hui au cœur de nombreux enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Pourtant, il a fallu attendre longtemps avant que la communauté internationale ne prenne véritablement conscience de la gravité des risques liés à l’eau. Aujourd’hui, nous faisons face à une question cruciale : comment organiser la gestion de l’eau dans un contexte de raréfaction croissante ? Cela nécessite de repenser en profondeur notre modèle économique de l’eau, qui, à ce jour, repose principalement sur les volumes consommés. Ce changement nécessite des réformes profondes mais nécessaires pour garantir que l’eau, en tant que bien commun global, reste accessible à tous, aujourd’hui et pour les générations futures.