Qu’est-ce que la liquidité des marchés financiers ?

3094 vues

Partager

Sur un marché financier, tous les actifs ne suscitent pas spontanément un nombre d’ordres tels qu’il soit en permanence possible de trouver une contrepartie aux investisseurs souhaitant acheter ou vendre. Ainsi la liquidité tient une place prépondérante dans les discussions sur l’organisation structurelle des marchés financiers. La liquidité permet en effet aux investisseurs de se désengager d’un investissement quand ils le souhaitent. Cette absence de contrainte à la sortie ne peut que faciliter le rapprochement entre le besoin de capitaux et l’offre d’épargne.

Mots clés

Vidéos de la même institution

07:05
« Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise. L’ouvrage analyse les théories économiques sous-jacentes qui expliquent cet échec et plaide pour un renforcement du droit de la RSE.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
05:39
Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise. L’ouvrage analyse les théories économiques sous-jacentes qui expliquent cet échec et plaide pour un renforcement du droit de la RSE.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:14
Les parties prenantes font une entrée fracassante en gestion à partir de l’ouvrage qu’un philosophe (Ed. Freeman) publie en 1984 : « Strategic Management: A Stakeholder Approach ». Depuis ce concept est devenu un pilier de toute stratégie RSE. Une entreprise désirant se lancer en RSE doit identifier ses parties prenantes, s’informer de leurs attentes et en tenir compte dans sa stratégie RSE. Elle doit également leur rendre compte régulièrement. Les parties prenantes sont très diverses puisqu’il s’agit des groupes ayant une influence ou susceptibles d’être influencés par l’entreprise, ils comprennent les actionnaires, les employés, les fournisseurs, les clients, les communautés locales, les porteurs de causes (ONG) et les pouvoirs publics.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:50
Depuis 2017, la loi relative au devoir de vigilance oblige les grandes entreprises françaises à élaborer, à publier et à mettre en œuvre des mesures adaptées d’identification des risques et de prévention des atteintes aux droits humains et aux libertés fondamentales, à la santé et à la sécurité de personnes, et à l’environnement. Ce plan de vigilance comporte une cartographie des risques en matière de RSE concernant les filiales, les fournisseurs et les sous-traitants où qu’ils se trouvent dans le monde, il comporte également les procédures d’évaluation régulière et les actions adaptées d’atténuation des risques identifiés ainsi qu’un dispositif de suivi et un droit d’alerte pour les salariés concernés.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |

Vidéos de la même thématique

This study examines the association between zombie firms and their environmental and social performance. Using a global dataset of listed firms from 49 countries between 2002 and 2019, we find that zombie firms perform poorly on environmental and social responsibility fronts. This finding supports the argument that zombie firms are characterized by consistent losses and that their existence is risky without external support. Zombie firms, while struggling for survival, may not be able to undertake environmental and social activities that require huge investments, thus falling behind other firms. Further analysis highlights that eco-innovation, the presence of a sustainability committee, and industry nature (i.e., heavily polluting industries) mitigate the negative impact of firms’ zombie status on their environmental and social performance. Moreover, a zombie firm’s engagement in environmental and social activities improves its financial performance. Our main findings are robust to a battery of estimation techniques, alternative proxies, selection bias, and endogeneity issues.
MASHWANI Asad Iqbal - EDC Business School |
Le dispositif pédagogique « Crowdfund Your Business » est un challenge intermaster en équipe, permettant de déployer une analyse de la stratégie financière et digitale d’une campagne de levée de fonds participatif (crowdfunding). La formation est structurée afin d’être accessible quel que soit le niveau initial des participants dans les domaines considérés. Il réunit deux promotions de l’Ecole Universitaire de Recherche Economics Law and Management of Innovation (Université Côte d’Azur) : le Master Stratégie Digitale, et le Master Monnaie Banque Finance Assurance. Au sein de cette vidéo, nous décrivons le dispositif, mais aussi la démarche de recherche-action initiée grâce aux sondages colléctés auprès des étudiants.
BALLATORE Marta - FNEGE |
This study investigates how green investment assets improve optimal portfolio diversification in terms of tail downside risk. We use the wavelet conditional value-at-risk ratio to explore the benefits of adding green assets to conventional portfolios. We quantify risk based on the contagion between conventional stock market indices and green environmental assets, including a sustainability index, clean energy, and green bonds. Our findings emphasize the high variance between conventional stock pairs, providing evidence of contagion effects before and during the COVID-19 pandemic. We show that including clean energy and green bond indices in conventional portfolios reduces the extreme risk of portfolios. In addition, we find that the diversification benefits of clean energy, green bonds, and safe-haven investments apply especially in the short term during the pandemic. Finally, we show that the considered portfolios could not decrease long-term risk during the COVID-19 crisis because of the systematic risk spread. Our portfolio optimization design supports the superiority of clean energy and green bonds in portfolio diversification over the sustainability index. These insights can be used by portfolio managers to inform diversification in different investment horizons.
FTITI Zied - EDC Business School |
Increasing awareness of climate change and its potential consequences on financial markets has led to interest in the impact of climate risk on stock returns and portfolio composition, but few studies have focused on perceived climate risk pricing. This study is the first to introduce perceived climate risk as an additional factor in asset pricing models. The perceived climate risk is measured based on the climate change sentiment of Twitter dataset with 16 million unique tweets in the years 2010–2019. One of the main advantages of our proxy is that it allows us to capture both physical and transition climate risks. Our results show that perceived climate risk is priced into S&P 500 Index stock returns and is robust when different asset-pricing models are used. Our findings have implications for market participants, as understanding the relationship between perceived climate risk and asset prices is crucial for investors seeking to navigate the financial implications of climate change, and for policymakers aiming to promote sustainable financing and mitigate the potential damaging effects of climate risk on financial markets, and a pricing model that accurately incorporates perceived climate risk can facilitate this understanding.
FTITI Zied - EDC Business School |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS