Dans une économie de la connaissance, le besoin en personnes à haut niveau de formation se fait croissant pour les organisations, qui recherchent pour leurs équipes des individus diplômés et compétents, avec une ou plusieurs expériences de travail. Rares cependant sont les nouveaux venus correspondant à ces attentes dès le premier pas posé dans l’organisation. Il existe néanmoins des dispositifs, les formations-emplois, qui permettent de former de manières théorique et pratique les individus, par une alternance entre formation en école et en entreprise. Les objectifs de cet article demeurent de comprendre comment et envers quelles cibles organisationnelles les individus s’impliquent au sein du système de formation-emploi canadien d’éducation coopérative en fonction de trois variables de contrôle (sexe, durée de l’expérience, taille de l’organisation d’accueil) et de proposer des pratiques de gestion susceptibles de promouvoir ces liens.

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L’intrapreneuriat, apparu dans les années 1980, permet aux grandes entreprises d’innover et de rester compétitives. Il offre aux entreprises plus de flexibilité et favorise des stratégies novatrices, tandis que les intrapreneurs bénéficient d’une autonomie accrue. Cependant, il implique des changements organisationnels et une évolution de la culture d’entreprise. L’intrapreneuriat est aussi un levier pour la décarbonation, nécessitant de nouveaux business models et investissements à court terme pour des bénéfices à long terme. Des entreprises comme Renault et L’Oréal adoptent cette approche via des partenariats et des structures dédiées. Vinci, avec sa plateforme Leonard, soutient des projets internes et des start-ups externes pour accélérer la transition écologique et l’innovation.
LEGER-JARNIOU Catherine - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
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