Les outils Analytiques du Big Data (BDA) : développer l’agilité en environnement turbulent.

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Cette vidéo traite des capacités offertes par les outils analytiques du Big Data (BDA), essentielles dans des environnements turbulents. Les BDA améliorent l’agilité organisationnelle, car ils facilitent la détection des opportunités et des menaces ; cependant, il est plus difficile de saisir leurs avantages pour réagir rapidement sans adaptation organisationnelle. Trois types d’adaptations sont envisagés : réinventer les relations internes et externes, accélérer la vitesse de l’horloge organisationnelle, mettre en œuvre un changement de culture où l’échec devient un moyen d’apprendre, avec un soutien fort de la direction.

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Perceived product value describes consumers' overall assessment of a product. It takes into account the extent to which a product meets a consumer's needs and expectations. It takes into account the extent to which a product meets a consumer's needs and expectations. The perceived value of a product can be seen as a trade-off between quality and price. However, more nuanced definitions take into account the complex nature of perceived product value, and refer to its dimensions: emotional (feelings generated), social (improved social self-image), quality/performance (quality and performance expectations) and price/value for money (product utility and cost).
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codes of conduct, and how do they deal with ethical dilemmas? To answer these questions, we conducted a non-prompting online survey of wealth management employees at the Swiss legal entity of a large multinational bank. We used situational judgment questions to estimate the understanding and expected level of adherence to the CoC principles. We show that framing questions under the label "financial security" increases the accuracy of responses, and that employees' honesty helps guide their decisions towards integrity in ethical dilemmas.
LOMBARD Ewa - MONTPELLIER Business School |
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L’expérience personnelle et subjective de la thèse reste un pan négligé des études existantes sur le sujet. La thèse reste encore une « boîte noire » difficile à ouvrir et à déchiffrer pour les néophytes. Dès lors, comment une thèse se construit en pratique ? Comment les doctorants articulent-t-ils des demandes souvent contradictoires ? Pour y répondre, nous avons fait appel à des récits de collègues docteurs depuis moins de cinq ans, permettant de laisser la place à leur expérience, à interroger des évolutions institutionnelles récentes, dans les attentes liées à la thèse et au marché du travail. En somme, en tant qu’éditeurs, nous avons pensé cet ouvrage comme donnant à voir la thèse telle qu’elle se fait, plutôt que telle qu’elle devrait se faire.
GRANDAZZI Albane - FNEGE |
SENN Juliette - MONTPELLIER Business School |
02:54
Si la période du doctorat est largement documentée, l’après-thèse l’est beaucoup moins, et en particulier les mois - ou années - entre la soutenance de thèse et l’obtention d’un premier poste d’enseignant-chercheur. Ce chapitre vise donc à ouvrir la boîte noire de l’après-thèse en sciences de gestion, en discutant l’expérience des deux auteurs. Ni plaidoyer, ni critique, ce chapitre veut avant tout donner à voir les possibilités offertes par le postdoctorat, mais aussi les risques parfois peu visibles pour les docteurs s’engageant dans cette voie. Ce chapitre offre également des conseils pratiques dans la recherche d’un postdoctorat en sciences de gestion, ainsi que certains points de vigilance.
GRANDAZZI Albane - FNEGE |
SENN Juliette - MONTPELLIER Business School |

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L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Prix EFMD FNEGE 2025 du Meilleur Ouvrage de Management – Catégorie puvrage de recherche collectif Prix Syntec Conseil du Meilleur Ouvrage de Management L’ouvrage examine les interactions entre la science et l’industrie à travers la notion de double impact, c’est-à-dire la capacité à produire à la fois des avancées scientifiques majeures et des innovations technologiques disruptives. Il met en lumière les leviers permettant de favoriser ces synergies, notamment par le transfert de connaissances, la coopération entre chercheurs et industriels, et des politiques d’innovation adaptées. L’objectif est de construire un écosystème où la recherche fondamentale et l’innovation industrielle se renforcent mutuellement au service du progrès économique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
Lorsqu’un entrepreneur innove, il peut protéger ses créations grâce aux droits de propriété intellectuelle (PI) qui accordent un droit exclusif d’utilisation et de valorisation. La PI se divise en deux branches : la propriété littéraire et artistique (droit d’auteur et droits voisins), qui protège les œuvres originales, et la propriété industrielle (brevets, modèles, marques, etc.), qui protège inventions et créations. Ces protections présentent toutefois des limites : procédures longues, coûteuses et valables dans le temps et l’espace. À côté de ces outils juridiques, les entrepreneurs peuvent recourir à des protections informelles comme le secret, la rapidité d’accès au marché, l’avance technologique ou la réputation. Ces stratégies sont peu coûteuses et rapides à mettre en place, mais plus risquées. En pratique, les entrepreneurs peuvent combiner protections formelles et informelles afin d’adapter leur stratégie à leurs besoins et aux exigences du marché.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |

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