Invité inspirant 2019 : Sammy Obeid – Injecteur de l’humour dans la pédagogie

594 vues

Partager

Au cours de la semaine du 16 au 20 septembre 2019, TBS Business School a lancé la première édition d’Inspiring Guest, un projet d’innovation pédagogique pensé pour injecter de la créativité et des émotions positives dans l’enseignement et l’apprentissage. Le concept : des enseignants invitent des personnalités inspirantes extérieures au monde académique afin de collaborer au développement de ressources pédagogiques originales visant à stimuler à la fois la motivation des étudiants et le processus d’apprentissage.
L’édition inaugurale de ce projet s’est axée sur l’engagement des apprenants. En effet, dans un monde où chaque organisme de formation doit développer et/ou sélectionner les meilleures ressources pédagogiques en ligne et hors ligne parmi une offre abondante, il est essentiel de repenser la façon dont nous attirons et retenons l’attention de nos auditeurs afin qu’ils apprennent le plus efficacement possible. Ainsi, pour son lancement, le projet Inspiring Guest a mis en vedette le comédien américain Sammy OBEID qui, grâce à son parcours atypique, a apporté un point de vue unique sur ces sujets. Sammy OBEID est un humoriste qui, en plus d’être diplômé en commerce et en mathématiques appliquées de l’Université de Californie Berkeley, a une solide expérience dans l’enseignement au niveau secondaire et universitaire. En outre, Sammy OBEID porte un intérêt tout particulier au rôle que peut jouer l’humour dans l’enseignement et la pédagogie.

Mots clés

Vidéos de la même institution

03:06
Cette vidéo présente les résultats d'une étude sur l'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans l'industrie automobile, axée sur les grands acteurs historiques du secteur. L'étude révèle que l'IA est principalement utilisée pour des améliorations incrémentales, telles que l'automatisation de tâches, plutôt que pour des innovations de rupture. Cette "exploitation" optimise les processus existants sans transformation radicale. L'approche organisationnelle est également surprenante : au lieu d'une stratégie "top-down" dirigée par des data scientists, l'IA est intégrée de manière "bottom-up", par les ingénieurs qui l'appliquent dans leurs expertises en fin de processus de développement. Cela montre que l'IA peut être un levier d'optimisation et de créativité lorsqu'elle est utilisée de façon progressive et distribuée. Cette méthode pourrait aussi s'appliquer à d'autres technologies émergentes dans différents secteurs.
DEVAL Marie-Alix - ISTEC Business School |
PLANTEC Quentin - TBS Education |
04:02
Malgré les performances avérées des méthodes modernes d’intelligence artificielles, peu de travaux s’intéressent aux impacts environnementaux liés à la quantité de ressources nécessaires à l’entrainement et à l’usage de ces modèles. Ceci est très alarmant, lorsqu’on sait que le réchauffement climatique est une menace majeure qui met en péril notre planète et nos sociétés. Ainsi, nous abordons globalement dans ce travail la question de la mesure de l’empreinte carbone des modèles d’intelligence artificielle. Plus précisément nous considérons le cas des modèles visant à réduire les émissions de CO2. Pour de tels modèles, nous proposons de mesurer leurs impacts négatifs (quantité CO2 émise par l’entrainement et l’usage des modèles), et leurs impacts positifs (quantité de CO2 non émise du fait de l’usage des modèles). Les évaluations réalisées démontrent que l’empreinte carbone générée par l’entrainement et l’usage des modèles d’intelligence artificielle est globalement non-négligeable. Ainsi, les nouvelles métriques que nous proposons peuvent permettre d’évaluer et de comparer l’impact environnemental de ces modèles, au-delà des métriques usuelles d’évaluation des performances prédictives.
TCHUENTE Dieudonné - TBS Education |
04:17
When time is of the essence and teams face unexpected contextual changes, they must adapt quickly, sometimes even in real time, that is, they may have to improvise. This paper adopts an inductive approach to explore how teams decide to engage in improvised adaptation, and what happens during those processes for improvisation to be successful. The study analyzes improvisation from the perspective of paradox theory and identifies six paradoxical tensions driven by these contexts: deployment, development, temporal, procedural, structural, and behavioral tensions. We propose a dynamic equilibrium model of team improvised adaptation that leads to team plasticity.
ABRANTES Antonio - TBS Education |
03:40
Avec la pérennisation du télétravail et l’utilisation accrue d’outils en réseau, les organisations affrontent des risques émergents : cyberattaques, vol de données, fraude interne. Comment lutter contre cette épidémie émergente et prévenir ces cyber-risques? Nous analysons ces risques avec une étude qualitative dans une compagnie d’assurance-vie et démontrons la nécessité de développer une protection renforcée, de sensibiliser les collaborateurs grâce à une forte implication des managers.
DIARD Caroline - TBS Education |

Vidéos de la même thématique

L’étude « Les métamorphoses du management à l’heure des transitions » co-réalisée par Maria-Giuseppina Bruna et Laurent Cappelletti présente des résultats de recherche de niveau macro – concernant la gouvernance et les structures des organisations - et de niveau micro – concernant les équipes et les comportements humains. Au plan micro l’étude identifie 6 grands leviers du management de proximité permettant aux entreprises de s’adapter aux transitions multiples : les conditions de travail physiques et psychologiques ; l’organisation du travail ; la communication-coordination-concertation et sens au travail ; la gestion du temps ; la formation et les carrières ; les valeurs et politiques d’entreprise et la mise en œuvre stratégique. Ces 6 leviers sont dès lors autant de domaines sur lesquels devrait porter en priorité l’attention des gouvernances et des managers, leurs stratégies et outils de gestion du potentiel humain.
CAPPELLETTI Laurent - LIRSA-CNAM |
Une approche socio-économique du management cherche à concilier les trois grandes familles de performances qui forgent la durabilité d’une organisation : la performance sociale (satisfaction au sens large du potentiel humain au travail), la performance sociétale (la qualité des externalités sur la Société et la nature) et la performance économique (résultats immédiats et investissements). Depuis les années 1970, en rupture avec les approches classiques tayloriennes, des approches remarquables en management et contrôle de gestion ont visé et vise à atteindre des modalités socio-économiques de management. A l’heure de la directive européenne CSRD de 2023 – Corporate Sustainability Reporting Directive – qui oblige les entreprises de l’UE de plus de 250 personnes à comptabiliser leurs résultats extra financiers, et qui dès lors les pousse à des modalités socio-économiques de management, nul doute que ces approches sont promises à un bel avenir.
CAPPELLETTI Laurent - LIRSA-CNAM |
Le rapport extra-financier, aussi appelé rapport ESG ou RSE, donne une image complète de l'impact environnemental, sociétal et de gouvernance d'une entreprise. Il est aujourd’hui encadré par des initiatives comme le Global Reporting Initiative (GRI) et le Carbon Disclosure Project (CDP). La directive européenne NFRD et sa mise à jour, la CSRD, imposent des normes strictes. Cependant, la complexité croissante du cadre réglementaire risque de détourner les ressources des actions concrètes vers la production de rapports. Heureusement, des efforts sont en cours pour rendre les normes interopérables et simplifier les exigences.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
Le Balanced Scorecard (BSC), créé par Kaplan et Norton dans les années 90, évalue la performance d'une entreprise via quatre axes : financier, client, processus internes et apprentissage/innovation. Il relie des objectifs stratégiques à des indicateurs précis pour aligner les actions avec la stratégie globale.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS