Épisodes du podcast

Parmi les tendances internationales qui façonnent nos modes de vie urbains, la notion de proximité polycentrique et de proximité heureuse s’est répandue à travers le globe, incarnée par la ville du quart d’heure et le territoire de la demi-heure. Ce mouvement est porté par une coalition comprenant des maires, des gouvernements locaux, des associations municipales et des institutions internationales. Il constitue une réponse systémique aux défis climatiques, économiques et sociaux auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. Dans le contexte des récentes tensions géopolitiques, telles que celles en Ukraine et le Moyen Orient, ce concept offre une approche axée sur la relocalisation, le développement des économies locales, la création d’emplois et la consolidation des territoires grâce à des chaînes d’approvisionnement en circuits courts. Il favorise également les interactions sociales, une utilisation optimale de l’espace public et une meilleure intégration sociale et fonctionnelle. Nous sommes fiers d’être à l’origine de cette initiative et nous nous engageons à en faire une source d’inspiration pour les politiques publiques à l’échelle mondiale.
MORENO Carlos - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Cette étude examine l’impact de la décentralisation et des transformations post-Covid sur la qualité de vie en métropole, focalisant sur la diminution de l’usage des bureaux et la proximité durable. Utilisant des méthodes mixtes, elle montre que ces tendances améliorent l’adaptation urbaine aux besoins locaux, diminuent la congestion et facilitent l’accès aux services. Les résultats indiquent l’importance de ces évolutions pour une urbanisme flexible et durable. Elle apporte une contribution scientifique à un sujet d’actualité et suggère des stratégies pour intégrer ces dynamiques dans le développement urbain du XXIème siècle. Pour les villes, ce travail propose des recommandations managériales pour intégrer la décentralisation et la transformation du travail dans le développement des villes, visant à construire des environnements urbains plus résilients et propices au bien-être.
MORENO Carlos - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Le co-branding désigne un partenariat entre marques pour valoriser une action commune de communication ou de marketing. L’opération de co-branding commence généralement par l’analyse de la clientèle-cible qui se doit être la même pour chaque marque. En second lieu, vient la contractualisation du partenariat qui indique de quelle façon, chacune des entreprises, va promouvoir son produit ou son service. La question peut aussi se poser de rajouter des référents : des célébrités comme des stars, des influenceurs ou toutes autres personnes pouvant avoir un impact sur l’acte d’achat des consommateurs. La décision de présenter ce co-branding, sous une même forme de support de communication ou de marketing est aussi essentielle. Enfin, il s’agit de décider d’un espace commun d’exploitation, le lieu où va s’afficher ce co-branding ou le contexte dans lequel vont se prendre les photographies immortalisant cet instant.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Le personal branding permet de créer une image de marque personnelle visible. Travailler son image personnelle, on le fait toutes et tous volontairement ou pas. « Moi » est une marque, chacun d’entre nous est une marque unique qu’on peut mettre en avant et valoriser, particulièrement sur le numérique. C’est tout l’enjeu de l’e-reputation de soi sur les plateformes digitales.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Les écoles ont passé un cap en se dotant de la capacité à assurer des cours en distanciel et à diffuser des contenus sur des plates formes, mais elles restent en général en retrait sur la conception et la production de contenus pensés expressément pour des pédagogies digitales et pour répondre aux besoins de sur-mesure exprimés par les entreprises.
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
L’étude menée montre que les entreprises continuent de recourir à la formation continue pour répondre à leurs besoins classiques de développement des compétences et d’accompagnement des mobilités. Toutefois elles ont bien cerné le potentiel du digital et ont fait évoluer les modalités de la formation. En jouant sur les complémentarités entre le face-à-face et la distance, entre les modalités synchrones et asynchrones...
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Le Dieselgate, la crise de 2007-2008, la crise du Covid-19… . Autant d’événements a priori improbables. Peut-on se préparer à ce que l’on appelle les « Cygnes noirs » ? Oui. La prospective stratégique aide les entreprises à imaginer l’inimaginable, à concevoir tous les scénarios pour y faire face et à détecter les « signaux faibles » qui les précèdent. Explications.
MICHAUX Valéry - NEOMA Business School |