Contrôle de Gestion
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Qu'est-ce que les charges directes/les charges indirectes ?
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Qu’est-ce que les charges directes/les charges indirectes ?

Les charges directes se définissent comme des coûts immédiatement rattachables à un produit ou à un service spécifique. Elles sont directement mesurables et attribuables sans ambiguïté à une unité de production. Parmi les charges directes nous pouvons citer le coût des matières premières par exemple. En revanche, les charges indirectes, par nature, présentent une plus grande complexité dans leur allocation. Elles ne peuvent pas être attribuées directement à un produit ou à un service spécifique sans un travail de répartition fait au préalable. Ces charges englobent souvent des coûts liés à des activités support, tels que les coûts administratifs, les frais généraux ou encore les coûts liés à la maintenance des équipements.

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ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |
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ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |
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NGUYEN Hoang Hiep - EM Normandie |
La gestion de portefeuille consiste à sélectionner et assembler des actifs financiers pour optimiser le risque et le rendement selon les objectifs du client. Elle est assurée par une société de gestion, composée du gérant de portefeuille, des analystes, des traders et de l’équipe commerciale. Les clients privés incluent les petits épargnants, qui investissent via des fonds indiciels (ETF) ou actifs, et les investisseurs fortunés, qui bénéficient d’une gestion sur mesure. Les investisseurs institutionnels, comme les fonds de pension et les dotations universitaires, ont des besoins spécifiques nécessitant une gestion structurée et disciplinée. Face à l’incertitude des marchés, la gestion de portefeuille repose sur une surveillance constante et une stratégie adaptée pour garantir performance et stabilité financière.
NGUYEN Hoang Hiep - EM Normandie |

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Le contrôle capacitant (enabling control) est un modèle proposé en 2004 par les chercheurs Thomas Ahrens et Christopher Chapman et qui fait désormais partie des grands courants en contrôle de gestion. Il est dérivé des travaux de Paul Adler et Bryan Borys (1996) pour lesquels le modèle des bureaucraties capacitantes distingue deux types de formalisation des flux de travail : coercitive et capacitante. Son idée-force est de « permettre aux employés de mieux maîtriser leurs tâches ». Appliqué aux systèmes de contrôle de gestion, il constitue une voie d’analyse de l’équilibre entre efficience et flexibilité, valorisant la participation des employés dans leurs interactions avec les technologies de gestion.
BENOIT Benjamin - IAE Perpignan |
Articulé autour de quatre caractéristiques, le contrôle capacitant emprunte une voie facilitante, d’une part, qui interroge l’utilisateur en mobilisant les caractéristiques de transparence interne et transparence globale, et une voie habilitante, d’autre part, orientée vers la technologie formalisée de contrôle de gestion, qui est axée sur les caractéristiques de flexibilité et de réparation. La combinaison facilitante-habilitante confère la qualité capacitante aux dispositifs de contrôle de gestion.
BENOIT Benjamin - IAE Perpignan |
L'avènement du Big Data, fondé sur une utilisation et une exploitation massive des données et des algorithmes sophistiqués transforme radicalement la manière dont les organisations surveillent, évaluent et optimisent leurs résultats et performances. De tels changements dans les usages aussi bien individuels qu’organisationnels remodèlent et redéfinissent la façon dont s’exercent les systèmes de contrôle et de surveillance au sein des organisations. On parle ainsi, depuis la fin des années 2010, de contrôle algorithmique, correspondant à une forme de contrôle fondé sur un usage massif de données structurées et non structurées, sur l’utilisation d’algorithmes exploitant les données, et constituant un outil d’aide à la décision, qui par le biais du « machine learning », intègre des systèmes d’apprentissage automatisés.
VILLESÈQUE-DUBUS Fabienne - IAE Perpignan |
Le bilan comptable est un document clé qui offre une photographie de la situation financière d'une entreprise à un moment donné. Il est structuré en deux parties principales : l'actif, représentant ce que l'entreprise possède, et le passif, qui correspond à ce qu'elle doit. Les actifs se divisent en immobilisations (destinées à rester dans l'entreprise sur le long terme) et en actifs circulants (facilement convertibles en liquidités, comme les stocks, les créances ou la trésorerie). Le passif comprend les capitaux propres, les provisions pour risques et charges ainsi que les dettes. Le bilan permet d'évaluer la santé financière de l'entreprise en fournissant une vue d'ensemble de ses ressources et engagements. Il est souvent complété par d'autres documents financiers, tels que le compte de résultat, et des indicateurs financiers pour affiner l'analyse de la santé de l’entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |

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