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Qu'est-ce que le compte de résultat?
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Qu’est-ce que le compte de résultat?

Le compte de résultat est un document essentiel en comptabilité, montrant l’évolution des produits et des charges d’une entreprise sur une période, contrairement au bilan qui capture une situation à un instant précis. Il est divisé en trois catégories : exploitation (activités courantes), financier (opérations de financement) et exceptionnel (événements spécifiques). Le compte de résultat évalue la performance économique et la rentabilité, aidant à orienter les décisions.

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Cette étude explore les leviers à mobiliser pour réussir la transition vers un modèle économique durable dans les entreprises européennes face aux défis mondiaux actuels. En se basant sur 82 entretiens réalisés dans 16 organisations, les auteurs identifient trois compétences clés : la performance financière, l'innovation et la responsabilité sociale. La théorie des capacités dynamiques montre comment ces compétences, bien orchestrées, peuvent devenir des sources d'avantage compétitif durable. Un point central de cette transformation est de placer l’humain au cœur de la démarche, en encourageant une participation collective et un leadership affirmé. Le rôle des dirigeants est crucial pour inciter au changement, adopter une vision à long terme et faire preuve de courage managérial face aux choix stratégiques. L'étude montre que la transition durable, bien que complexe, est réalisable en alignant ces trois compétences autour d’une vision collective et responsable.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
NEUKAM Marion - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
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Notre manuel, "Management Stratégique - Créativité et Transition : Comment réinventer le Management Stratégique ?", s'inscrit dans l'urgence de la décarbonation des entreprises. Il propose des méthodes et des outils pour aider étudiants, enseignants-chercheurs et professionnels à intégrer la responsabilité environnementale et sociale dans la stratégie des organisations. Structuré en trois parties, il aborde d'abord les fondamentaux du management stratégique et la relation entre croissance économique et décarbonation. La deuxième partie explore les stratégies d'engagement et la posture managériale dans ce contexte. Enfin, la troisième partie se concentre sur l'innovation et la transformation des modèles économiques, mettant en avant des approches comme l'économie circulaire, l'écoconception ou le rôle des entrepreneurs. L'ouvrage est enrichi d'études de cas, de questions de réflexion et de QCM pour approfondir la compréhension et favoriser l'apprentissage.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
SCHAEFFER Véronique - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Cette vidéo explore les perspectives d'innovation à travers l'économie circulaire, un modèle alternatif à l'économie linéaire traditionnelle, visant à minimiser l'utilisation de ressources en favorisant le recyclage, la réutilisation et la réparation des biens. L'économie circulaire invite les entreprises à repenser leurs processus pour réduire leur empreinte écologique et propose des méthodes comme l'éco-conception, où les produits sont conçus pour être durables et réparables, ou encore l'écologie industrielle et territoriale, qui encourage les entreprises d'un même territoire à partager des ressources et des flux de matière. Le cas des Ports de Strasbourg, illustre ce changement de paradigme en intégrant des projets innovants, comme le réseau de chaleur R-PAS. Nous montrons ainsi que l'économie circulaire est un levier d'innovation, tout en mettant en lumière les defis et incertitudes inhérents liés à toute démarche d'innovation.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
HELFRICH Vincent - ESSCA |
Les facteurs de résilience propres aux petites municipalités reposent largement sur leur capacité à mobiliser efficacement leurs ressources internes et à tirer parti de leur connaissance approfondie du terrain. De l’autre côté, les municipalités de taille moyenne bénéficient d’un équilibre intéressant entre les ressources d’une ville plus importante et une certaine proximité avec la population. Ces municipalités de taille moyenne ont le potentiel de développer des stratégies de résilience robustes et efficaces. Les petites et moyennes municipalités partagent plusieurs facteurs de résilience communs, bien que leur intensité puisse varier selon la taille de la commune. Ces facteurs de résilience, bien que présents dans les deux catégories de municipalités, peuvent varier en intensité. Les principales différences résident dans le degré d’intégration de la culture de gestion de crise, l’accès aux ressources externes et l’intensité de la proximité avec les citoyens.
GNAMM Mats-Benjamin - FNEGE |
JÜLICHER Milena - FNEGE |

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La mise en équivalence est habituellement présentée comme l’une des trois méthodes de consolidation avec l’intégration globale et l’intégration proportionnelle. Néanmoins, à proprement parler, c’est davantage une méthode de réévaluation des titres des sociétés concernées, qu’une une méthode de consolidation. Cette méthode hybride, dont l’usage a pu évoluer dans le temps, peut être utilisée tant dans les comptes sociaux que dans les comptes consolidés. Très différente des méthodes d’intégration, elle correspond à la présentation, sur une seule ligne, d’une valeur nette comptable des sociétés concernées. L’endettement du groupe ne comprend alors pas celui des entités mises en équivalence, ce qui entraîne un risque d’opportunisme autour de son usage, dont Enron a été un exemple extrême.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |
La consolidation correspond au fait de réaliser des comptes pour un groupe de sociétés. Un groupe est un ensemble de sociétés juridiquement et/ou économiquement liées. La représentation des groupes comme entité comptable, c’est-à-dire comme un tout fini, distinct des propriétaires date du début du XXe siècle. La proposition d’une théorie de l’entité n’est venue qu’a posteriori, dans les années 1940. Le groupe comme entité est un postulat peu discuté, malgré les difficultés, de plus en plus grandes avec le temps, d’en déterminer des frontières finies, et malgré son caractère mouvant et dynamique. Au sein du périmètre de consolidation, il y a trois modes de comptabilisation différents, en fonction du degré de contrôle ou d’influence de la société-mère : l’intégration globale, l’intégration proportionnelle, et la mise en équivalence.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |
Le bilan comptable est un document clé qui offre une photographie de la situation financière d'une entreprise à un moment donné. Il est structuré en deux parties principales : l'actif, représentant ce que l'entreprise possède, et le passif, qui correspond à ce qu'elle doit. Les actifs se divisent en immobilisations (destinées à rester dans l'entreprise sur le long terme) et en actifs circulants (facilement convertibles en liquidités, comme les stocks, les créances ou la trésorerie). Le passif comprend les capitaux propres, les provisions pour risques et charges ainsi que les dettes. Le bilan permet d'évaluer la santé financière de l'entreprise en fournissant une vue d'ensemble de ses ressources et engagements. Il est souvent complété par d'autres documents financiers, tels que le compte de résultat, et des indicateurs financiers pour affiner l'analyse de la santé de l’entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
La CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) est une directive européenne qui oblige les grandes entreprises et certaines PME à divulguer des informations sur leurs pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). Elle vise à renforcer la transparence et la fiabilité des rapports de durabilité et permettre une meilleure comparabilité des organisations. La directive introduit les normes européennes de reporting de durabilité (ESRS) et impose une vérification des rapports par un organisme tiers indépendant. Une approche de "double matérialité" est également exigée, demandant aux entreprises d’évaluer l'impact de la durabilité sur leurs activités et l'impact de leurs activités sur la société et l’environnement.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |

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