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Les femmes entrepreneurs en France
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Les femmes entrepreneurs en France

Notre objectif est de faire la lumière sur la réalité des femmes entrepreneurs et d’expliquer leur sous-représentation (30%) dans le contexte institutionnel et socio-culturel spécifique français. A partir du cadre théorique des « 5M » (Marché, Management, Monnaie, Maternité, Méso et Macro-environnement), nous en déduisons trois hypothèses testées empiriquement sur un échantillon de 48 251 entrepreneurs (base de données 2009 de SINE).
Nos résultats montrent quelques divergences et des similitudes entre hommes et femmes, ainsi qu’entre femmes et mères, démontrant l’impact de la « Maternité » et des « Méso et Macro environnement » sur les « 3M ». Nos résultats appellent à une redéfinition des concepts et des mesures classiques en entrepreneuriat.

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Alexandre de Navailles est le directeur général de Kedge Business school depuis trois ans, et c'est sa première incursion dans le monde académique, après avoir passé toute sa carrière dans l'industrie des services automobiles, au sein du groupe Hertz : que vient-il faire à la tête d'une école de commerce ? Qu'est-ce qu'un homme d'entreprise apporte à un établissement d’enseignement supérieur ? Comment gère-t-on un corps professoral quand on n’est pas soi-même un académique? Quels outils managéri
DE NAVAILLES Alexandre - FNEGE |
PIOVEZAN Sarah - AEF Info |
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Cette vidéo présente un retour d'expérience de trois anciens doctorants qui parlent de leur apprentissage des méthodes quantitatives et qualitatives pendant la thèse. Lucie Cortambert, Kathleen Desveaud et Guillaume Do Vale mettent en avant trois idées clés dans cette vidéo. Tout d’abord, la nécessité de se faire plaisir en choisissant un sujet passionnant, en s’ouvrant à la diversité des méthodes et en étant créatif dans la conduite des études.
CORTAMBERT Lucie - FNEGE |
DESVEAUD Kathleen - KEDGE Business School |
DO VALE Guilaume - FNEGE |
Une nécessaire redéfinition des concepts classiques de l’entrepreneuriat. Tandis que l’on observe une quasi-parité en termes de participation sur le marché du travail et que les institutions françaises sont supposées supporter et encourager l’entrepreneuriat féminin, seuls 30% des entrepreneurs sont des femmes. Comment peut-on expliquer cet écart homme-femme ?
RICHOMME-HUET Katia - KEDGE Business School |
VIAL Virginie - KEDGE Business School |
La notion de confiance est au cœur des travaux académiques sur les relations inter-entreprises. Elle est considérée comme un composant essentiel de la réussite de tout projet impliquant plus d’une organisation – que ce soit pour une relation marchande classique ou pour innover.
SERVAJEAN-HILST Romaric - KEDGE Business School |

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Cette recherche aborde un domaine négligé dans la littérature en entrepreneuriat : celui des entrepreneurs du quotidien — ces « modestes acteurs du changement ». Se concentrant sur le secteur du vin biologique en France, cette étude cherche à comprendre comment la digitalisation, souvent perçue comme un univers réservé aux start-up de la tech, pouvait impacter la performance de ces petits entrepreneurs. Les données financières de 66 producteurs de vin biologique ayant rejoint une plateforme numérique, ont été analysées et comparées sur une décennie à un groupe de contrôle qui n’avait pas franchi ce pas. Les résultats sont significatifs. Après avoir rejoint la plateforme, les vignerons du groupe cible ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 10,1 % par rapport au groupe de contrôle. Leur rentabilité s’est également améliorée. Fait encore plus marquant, cette croissance s’est faite à ressources constantes. Cette performance signe là l’essence même de leur stratégie : le bricolage numérique.
BONCORI Anne-Laure - OMNES Education |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Prix EFMD FNEGE 2025 du Meilleur Ouvrage de Management – Catégorie puvrage de recherche collectif Prix Syntec Conseil du Meilleur Ouvrage de Management L’ouvrage examine les interactions entre la science et l’industrie à travers la notion de double impact, c’est-à-dire la capacité à produire à la fois des avancées scientifiques majeures et des innovations technologiques disruptives. Il met en lumière les leviers permettant de favoriser ces synergies, notamment par le transfert de connaissances, la coopération entre chercheurs et industriels, et des politiques d’innovation adaptées. L’objectif est de construire un écosystème où la recherche fondamentale et l’innovation industrielle se renforcent mutuellement au service du progrès économique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
Lorsqu’un entrepreneur innove, il peut protéger ses créations grâce aux droits de propriété intellectuelle (PI) qui accordent un droit exclusif d’utilisation et de valorisation. La PI se divise en deux branches : la propriété littéraire et artistique (droit d’auteur et droits voisins), qui protège les œuvres originales, et la propriété industrielle (brevets, modèles, marques, etc.), qui protège inventions et créations. Ces protections présentent toutefois des limites : procédures longues, coûteuses et valables dans le temps et l’espace. À côté de ces outils juridiques, les entrepreneurs peuvent recourir à des protections informelles comme le secret, la rapidité d’accès au marché, l’avance technologique ou la réputation. Ces stratégies sont peu coûteuses et rapides à mettre en place, mais plus risquées. En pratique, les entrepreneurs peuvent combiner protections formelles et informelles afin d’adapter leur stratégie à leurs besoins et aux exigences du marché.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |

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