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La logistique durable est-elle seulement une affaire de logistique ?
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La logistique durable est-elle seulement une affaire de logistique ?

Bien que le développement de villes durables suscite un intérêt croissant, il subsiste un important déficit de connaissances concernant les choix logistiques concrets nécessaires à leur réalisation. Fondée sur une recherche ethnographique sur la logistique urbaine, cette étude examine comment les prestataires de services logistiques (PSL) relèvent les défis de la durabilité au sein de l’écosystème urbain, tout en répondant aux exigences d’efficacité de leur écosystème commercial. En repositionnant les prestataires de services logistiques comme un sous-écosystème imbriqué dans l’écosystème urbain plus large, l’article démontre comment les prestataires de services logistiques abordent habilement les complexités de l’environnement urbain et répondent aux pressions de leur écosystème commercial. Cette étude améliore considérablement la compréhension des enjeux sous-jacents qui affectent la durabilité de la logistique urbaine. Elle approfondit le concept de la logistique urbaine en tant que sous-écosystème au sein de l’écosystème urbain, en soulignant comment sa durabilité est liée à la structure de l’écosystème urbain. Du point de vue sociétal, cette recherche conceptualise la logistique urbaine comme une activité commerciale et un service social vital qui soutient le bien-être urbain. Les résultats suggèrent qu’il est nécessaire de poursuivre les recherches sur le rôle des acteurs de la logistique urbaine en tant que contributeurs clés de la durabilité urbaine.

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Après les IAE d'Aix, Paris, Toulouse, Lyon et Lille, c'est au tour de l'IGR-IAE de Rennes de faire l'objet d'un épisode du podcast "Le Grand Oral AEF info x Fnege".
RAINELLI-WEISS Hélène - FNEGE |
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
Les jeux de réalité hybride transposent le monde extérieur en un terrain de jeu virtuel. Les lieux commerciaux participent volontairement à ce phénomène en devenant des lieux d'intérêt dans le jeu. Ainsi, les joueurs et les non-joueurs s'entremêlent désormais dans les points de vente (POS). La littérature a négligé l'influence de la technologie sur l'interaction entre clients au point de vente, le contexte social dans lequel la gamification a lieu et les résultats contre-productifs de la gamification. Pour combler ces lacunes, nous utilisons une méthode mixte en trois étapes. Tout d'abord, à l'aide de la technique des incidents critiques, nous montrons que les non-joueurs peuvent créer une expérience de service négative sur le lieu de vente pour les clients qui jouent. Nous approfondissons ce résultat au moyen d'entretiens semi-structurés et constatons que les joueurs se sentent obligés de se conformer aux steréotypes et aux rôles imposés par les non-joueurs. À leur tour, les joueurs se sentent jugés négativement et exclus au point de vente. Enfin, à l'aide d'une expérience entre sujets menée auprès de 377 joueurs de jeux de réalité hybride, nous montrons comment une telle interaction négative diminue la satisfaction des joueurs au point de vente et, par voie de conséquence, les intentions de fidélité et de bouche-à-oreille à l'égard du point de vente. Nous étudions également comment cet effet peut être contrebalancé en accordant publiquement un privilège aux joueurs.
LUBART Allan - FNEGE |
CAPELLI Sonia - iaelyon School of Management |
La RST s'inscrit dans le prolongement de la RSE pour engager les organisations à penser leurs actions sur un territoire définit comme un espace commun géographique ou comme un projet fédérateur. La RST permet de transcender les frontières organisationnelles et d'envisager des solutions pour générer de la valeur partenariale.
GOUJON BELGHIT Anne - IAE Bordeaux |
Vincenzo Vinzi, directeur général de l’Essec, est l’invité du "Grand Oral AEF info x Fnege" en ce début novembre 2024, après avoir présenté, en octobre, le nouveau plan stratégique de la grande école de management. Il y revient notamment sur la transformation en cours du système de l’enseignement supérieur et sur "l’évolution fulgurante de la demande", en particulier en matière de "transdisciplinarité." Il s’exprime aussi sur l’avenir des business models des écoles de commerce, et prédit l’avènement du modèle des "joint-ventures", "sous une forme qu’il faudra définir".  
VINZI Vincenzo - FNEGE |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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GOUJON BELGHIT Anne - IAE Bordeaux |
L'IA frugale est une approche visant à développer des solutions d'intelligence artificielle tout en minimisant l'utilisation des ressources. Selon une étude de l'Agence Internationale de l'Énergie (IEA), la consommation électrique des centres de données pourrait dépasser 1 000 térawattheures d'ici 2026, doublant ainsi leur consommation actuelle. Les modèles d'IA, comme ChatGPT, consomment beaucoup d'énergie, avec une requête pouvant utiliser jusqu'à dix fois plus d'électricité qu'une recherche Google classique. Pour contrer cela, l'IA frugale propose des solutions telles que l'edge computing, qui décentralise le traitement des données, et le transfer learning, qui réutilise des modèles existants pour réduire la consommation énergétique. De plus, l'A frugale intègre une réflexion éthique, en évaluant la nécessité et l'impact des usages de l'A, afin de favoriser des technologies durables et responsables. Adopter une IA frugale est essentiel pour rendre l'intelligence artificielle plus écologique, accessible et éthique, tout en répondant aux défis énergétiques posés par l'expansion des centres de données.
GLAVAS Dejan - ESSCA |
Le baromètre de l'A analyse l'intégration de l'intelligence artificielle dans les entreprises françaises et britanniques et son impact sur la durabilité. Basé sur les réponses de plus de 400 responsables informatiques, il révèle que, malgré les avantages perçus en termes de productivité et de réduction des coûts, des obstacles persistent tels que des contraintes financières et un manque de personnel qualifié. Les entreprises sous-estiment souvent les défis liés aux biais des systèmes d'lA et à la nécessité d'un contrôle humain. Les entreprises britanniques, adoptant une approche "test and learn", semblent plus avancées. Un besoin accru de compétences en lA, en gouvernance des données et en gestion des risques éthiques est identifié. Les entreprises reconnaissent l'importance de l'IA pour l'avenir, mais doivent intégrer pleinement les considérations éthiques et durables dans leurs stratégies.
GLAVAS Dejan - ESSCA |
Dans cette vidéo, Sofiane Rahmani (SOBO&CIE) met en lumière un modèle de distribution durable à travers l’exemple de la boutique éphémère SOBO&CIE. En ce sens, il détaille les principes de ce modèle, la manière avec laquelle l’agencement du magasin a été réfléchi, les contraintes rencontrées ainsi que l’appréciation des clients. Cette vidéo fait partie d’un programme « Parlons Marketing Durable ! » conçu par la Professeure Sihem Dekhili et composé de 12 épisodes. Ce projet a été rendu possible grâce au soutien du Fonds d’Initiatives Pédagogiques de l’Institut de Pédagogie Avancée de l’ESSCA, et à l’appui de l’ADETEM.
DEKHILI Sihem - ESSCA |
RAHMANI Sofiane - FNEGE |

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