Réputation (technologique) des entreprises et performance : quelle place pour les DSI ?

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Basée sur une recherche quantitative des DSI et des PDG, cette recherche se concentre sur la réputation informatique (RI) des entreprises et son impact sur la performance. Le sujet est intéressant parce que (1) la RI de l’entreprise, mesurée par la capacité perçue de l’entreprise à développer et à maintenir sa réputation en matière de capacités informatiques, pourrait être liée à la performance organisationnelle ; (2) l’identification de nouveaux facteurs de succès informatiques est nécessaire pour mieux comprendre les facteurs antécédents menant à la performance ; et (3) l’importance de la direction et de la réputation doit être davantage prise en compte. Le modèle développé et testé explique plus de 40% de la performance organisationnelle.

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05:57
La finance durable désigne l’ensemble des activités financières visant à améliorer l’intérêt de la collectivité à moyen et à long terme. Elle couvre la finance solidaire, la finance durable et la finance verte. Elle repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La finance durable sous-entend : (1) une plus grande transparence des transactions, (2) une meilleure traçabilité des flux de capitaux et (3) une responsabilisation des acteurs. La finance durable a modifié certaines pratiques financières. Ainsi, le pilotage de la performance au sein des organisations est désormais global et intègre les critères ESG. Parallèlement, des agences de notation extra-financière évaluent les risques selon des critères ESG et envoient un signal aux investisseurs socialement responsables. Néanmoins, la question qui se pose au niveau théorique : la finance durable est-elle une finance de continuité compatible avec les théories financières existantes ou une finance de rupture qui implique un nouveau cadre théorique ?
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:41
Les premières agences de notation extra-financière ont vu le jour dans les années 1990. Ces agences se sont appuyées sur les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance (ESG) élaborés par les institutions internationales comme l'Organisation des Nations Unies (ONU), l'Union européenne (UE) ou encore l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Au fil du temps, le modèle économique de ces agences a gagné en maturité. Malgré le grand essor qu’a connu l'industrie de la notation extra-financière durant les deux dernières décennies, la notation fondée sur les critères ESG n'a pas encore atteint la phase de maturité. En effet, aucun référentiel ESG standardisé n’a pu émerger de la pratique de notation extra-financière. Pour devenir un acteur majeur de la finance durable, les agences de notation extra-financière doivent relever deux défis : renforcer leur légitimité institutionnelle et améliorer la viabilité de leur modèle économique.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:22
Pour comprendre la manière dont la blockchain transforme l’audit financier, nous avons mené une étude qualitative auprès des auditeurs des Big Four. Notre objectif est de déterminer l’impact de la technologie blockchain sur l'audit financier dans les cabinets des Big Four et d’identifier les principaux avantages et défis liés à son application. Nos résultats démontrent l’existence d’un impact perçu de la blockchain sur l’audit financier significatif et positif. Les auditeurs des Big Four sont conscients du caractère innovant, voire disruptif de la technologie blockchain dans l’audit. Nos résultats révèlent l’émergence de trois défis majeurs pour l’audit financier sous l’impact de la blockchain, à savoir : la nécessité d’une évolution des compétences des auditeurs, une adaptation des formations en audit et l’impératif de l’adoption des nouvelles normes d’audit.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
04:12
Previous research examining the link between board attributes and ecological strategies such as green innovation has primarily focused on structural board attributes, yielding mixed findings. Moreover, the critical contextual grounds that shape the relationship between board attributes and green innovation have often been overlooked, leading to potential biases in empirical investigations. Considering that competence drives outstanding performance, we developed a unique measure of board competence that represents the board's intrinsic ability to perform in corporate strategies.Drawing on a holistic perspective of agency, resource dependence, and stakeholder theories, we posit a strong relationship between board competence and green innovation.Furthermore, we contend that this association is moderated by external governance mechanisms, namely audit quality, media coverage, and imitative pressure.Through our analysis of publicly traded Chinese companies, we found compelling evidence to support our assertions. These findings have important implications for policymakers, practitioners, and managers.
TAUNI Zubair - EM Normandie |

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The sociomaterial lens within IS research holds that agency should not be considered as a property solely of humans, or of technology, but instead arises from an emergent interaction between the two. This, emergent, account of agency deepens our understanding of unfolding IS practice, but its largely cognitive orientation remains naïve towards affectively-sensed motivations that also form part of this interaction. By implication, a sociomaterial perspective lacking an affective dimension offers an incomplete conceptualisation of information systems. In response, an affectively-informed negative ontology encourages IS researchers to extend their focus beyond the visible, to encompass how actors’ receptiveness towards material objects (discourses, technologies) is shaped by deep, affectively-derived motivations of which they are not focally aware, but which nonetheless acquire agency in contributing to a sociomaterial outcome. A central argument, and illustrative empirical vignette, demonstrate how the concepts of sociomateriality, affect, and negative ontology combine to offer researchers an enhanced understanding of relational agency. A discussion follows, exploring some initial ontological, epistemological and methodological implications of an affectively-informed negative ontology for IS research.
PIGNOT Edouard - EMLV |
What are digital data wallets? What type of data do they handle, and what are their advantages? Digital data wallets are secure digital platforms or applications that allow users to store, manage, and share personal information and data. These wallets can hold a variety of digital credentials, including payment information, identification documents (like driver’s licenses or ID cards), and health records. Their flexibility and security make digital data wallets an attractive solution for a range of activities, from financial transactions to identity verification and online authentication.
TRABANDT Mélanie - AUDENCIA |
The rise of digital wallets led the EU to fund the Soteria project. It unites practitioners and researchers from across Europe to pinpoint the key criteria that will persuade individuals to use Digital Data Wallets.
TRABANDT Mélanie - AUDENCIA |
Chaque année en France, le nombre de sites marchands augmente en moyenne de 5 à 10 %. Il est actuellement de 220000. Face à une telle croissance, comment réussir à se différencier durablement ?
LEMOINE Jean-François - ESSCA |

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